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Critique de Lenocherdeslivres
Dans ce roman d'initiation, on suit une jeune femme, Lowana, biologiste éprise de nature. Elle doit, pour résumer, sauver sa patrie en découvrant l'origine d'un mal terrible qui décime la nature et la population du nord de Pangéa.
Le début du récit est composé de son voyage à travers le continent et de la rencontre de ses habitants, aux coutumes et habitudes différentes de celles de sa région d'origine. de l'aventure et du suspens... classique, mais efficace.
Dans la deuxième partie, on assiste à la confrontation de Lowana et de sa troupe (dont quelques suivants, dont on sait dès le début qu'ils vont, pour beaucoup, servir de chair à canon) avec le mal mystérieux. Si vous êtes jeune lecteur, vous pourrez être tenus en haleine par ce passage. Si non, le fait d'avoir deviné dès le début de quoi il retournait, enlève un peu charme de l'histoire.
Car le propos de Joslan F. Keller a beau être très honorable, son histoire est parfois un peu simpliste, un peu téléguidée. On sait rapidement où il veut en venir et comment il va y parvenir. le récit est bien mené, mais maque cruellement, parfois d'originalité. La lecture des sentinelles de Pangéa est donc à réserver à un public plus jeunes (dix-douze ans), afin d'éviter l'impression de déjà vu. Mais que ces jeunes lecteurs ne se privent pas de ce beau voyage et de cette occasion de réfléchir à un thème (développé à la fin de l'ouvrage, dans un court cahier documentaire) très actuel.
Le début du récit est composé de son voyage à travers le continent et de la rencontre de ses habitants, aux coutumes et habitudes différentes de celles de sa région d'origine. de l'aventure et du suspens... classique, mais efficace.
Dans la deuxième partie, on assiste à la confrontation de Lowana et de sa troupe (dont quelques suivants, dont on sait dès le début qu'ils vont, pour beaucoup, servir de chair à canon) avec le mal mystérieux. Si vous êtes jeune lecteur, vous pourrez être tenus en haleine par ce passage. Si non, le fait d'avoir deviné dès le début de quoi il retournait, enlève un peu charme de l'histoire.
Car le propos de Joslan F. Keller a beau être très honorable, son histoire est parfois un peu simpliste, un peu téléguidée. On sait rapidement où il veut en venir et comment il va y parvenir. le récit est bien mené, mais maque cruellement, parfois d'originalité. La lecture des sentinelles de Pangéa est donc à réserver à un public plus jeunes (dix-douze ans), afin d'éviter l'impression de déjà vu. Mais que ces jeunes lecteurs ne se privent pas de ce beau voyage et de cette occasion de réfléchir à un thème (développé à la fin de l'ouvrage, dans un court cahier documentaire) très actuel.
