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Critique de harukochan


En résumé : young adult - fantastique. Alors que chacun a choisi son camp et que les dés semblent jetés, les deux royaumes vont-ils vraiment s'entre déchirer ? La menace est-elle finalement bien celle que l'on croit… ?

En détail :

Ce troisième et dernier tome vient donc conclure la trilogie de Cursebreakers. La guerre fait toujours rage entre les deux royaumes et après les révélations du tome 2, chaque protagoniste s'est positionné dans le jeu politique. Les cartes sont donc distribuées, ne restent plus qu'à jouer la partie.

Quatre points de vue sont présents, les deux du tome 1 et les deux du tome 2, ce qui permet de bien englober la situation des deux royaumes. Cette convergence progressive au fil des tomes a permis au lecteur de s'habituer et de faire la transition tout en douceur et sans sentiment de complexité.

Ce tome s'attèle à conclure l'histoire, plus de grandes révélations mais des relations qui s'approfondissent et des situations qui finissent par se dénouer (pour le meilleur comme pour le pire). le récit n'a pas été aussi palpitant que pour le précédent tome, en ce qui me concerne, car j'attendais des retournements de situations qui me semblaient promis au vu des deux premiers tomes. J'ai néanmoins retrouvé le confort de protagonistes connus et d'un univers construit. le personnage D Harper notamment, qui revient en force dans ce tome avec des coups d'éclats bien badass et des traits d'humour savoureux.

J'aurais bien aimé avoir plus de développements sur l'histoire de Lilith, voire quelques chapitres avec son point de vue. Idem pour le personnage de Karis Luran. Les personnages néfastes impactent beaucoup l'intrigue et apportent de la violence brute au récit qui aurait pu être plus développée pour ne pas être ressenti comme hors sol, sortie de nulle part.

Globalement, cette trilogie se lit facilement et rapidement. Si les tomes sont impressionnants en terme de taille, la police et les marges allègent considérablement la lecture.

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