J'ai été fortement déçu par «
Isabelle, l'après-midi ». L'histoire de cette relation cachée entre une bourgeoise d'age mur se voulant libérée mais évoluant en réalité dans un milieu ultra conservateur et d'un jeune ricain solitaire, épris de liberté rentrant lui aussi dans le rang d'une vie toute tracée grande école-grande carrière-mariage-enfant, est d'une très grande banalité.
Le décor du Paris bohème des années 70 est bien artificiel et on ne croit pas davantage à cette lointaine liaison par éclipses parsemée de péripéties lourdingues censées la rendre plus vivante.
Dépression, alcoolisme, handicap et même cancer : Kennedy ne lésine pas sur les artifices les plus balourds pour faire pleurer ses lecteurs.
La mixture a été pour moi trop indigeste et ce livre sera probablement le seul que je lirai de lui !
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https://lediscoursdharnois.b.. Commenter  J’apprécie         116