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Critique de Gaoulette
Je crois qu'Elle Kennedy devrait revoir la définition de dystopie mélangé à de l'érotisme car j'ai eu l'impression de lire un roman pornographique qu'un roman post apocalyptique.
Qui sont les insurgés? Des rebelles qui se sont crées après la grande guerre et ont refusé de vivre dans la Cité avec des règles strictes et autoritarisme. le monde est dévasté et Connor, un insurgé a une vengeance bien en tête. En terre libre, les plaisirs charnels consentis ont libre court. Tout le monde baise avec tout le monde. Je ne spoile rien car on l'apprend au 3ème chapitre et avec l'arrivée d'Hudson, une ex de la cité. Elle a quitté son clan à cause d'un mariage forcé et va rejoindre le groupe très fermé de Connor et ses potes. Et la patatras….. je ne m'attendais pas un défilé de baise à tout va. C'est simple la dystopie passe en second plan pendant presque tous les chapitres. Et je ne parle pas que de fornication entre les deux héros mais de partouze géante, de plan à trois, de bouffage de minou à gogo et le kiki qui va avec. Tout tourne autour de l'attirance sexuelle entre les deux héros et surtout de la découverte de sa nouvelle libido à Hudson. de fille frigide, elle en devient la grosse cochonne qui s'exhibe à tout va .
Je suis très étonnée car Elle Kennedy m'avait habitué à beaucoup mieux en romance érotique, au mois avec Off Campus, elle avait une histoire qui tenait la route. Elle avait une bonne base mais elle s'est empêtrée dans les parties de jambes en l'air qui donne une image plus que libertine de la Terre Libre.
Elle Kennedy attend les 3 derniers chapitres pour redonner un souffle à son premier tome en revenant sur la trame dystopique et laisser envisager un avenir serein aux insurgés.
Le tandem Hudson/Connor n'est pas la meilleure mise en bouche. L'adonis m'a fait ni chaud ni froid, c'est simple je lui préfère le sympathique Rylan particulièrement drôle dans ses interventions. Hudson soit disant une femme courageuse, à part donner son minou en pâture et qui mouille à tout va, j'ai été déçue par le portrait brossé par l'auteure. J'ai connu les personnages d'Elle Kennedy bien plus féministe qu'elle et même si elle assumait leur sexualité débridée. J'ai beau avoir l'esprit ouvert, les scènes érotiques m'ont mise mal à l'aise car elles n'apportaient rien à la trame principale.
Je repousse mon coup de gueule sur la traduction linéaire et le manque de relecture de la maison d'édition. Cela commence à devenir récurent.
Je n'abandonne pas cependant la saga car je me dis que cela ne peut pas être pire. Enfin je l'espère.
Qui sont les insurgés? Des rebelles qui se sont crées après la grande guerre et ont refusé de vivre dans la Cité avec des règles strictes et autoritarisme. le monde est dévasté et Connor, un insurgé a une vengeance bien en tête. En terre libre, les plaisirs charnels consentis ont libre court. Tout le monde baise avec tout le monde. Je ne spoile rien car on l'apprend au 3ème chapitre et avec l'arrivée d'Hudson, une ex de la cité. Elle a quitté son clan à cause d'un mariage forcé et va rejoindre le groupe très fermé de Connor et ses potes. Et la patatras….. je ne m'attendais pas un défilé de baise à tout va. C'est simple la dystopie passe en second plan pendant presque tous les chapitres. Et je ne parle pas que de fornication entre les deux héros mais de partouze géante, de plan à trois, de bouffage de minou à gogo et le kiki qui va avec. Tout tourne autour de l'attirance sexuelle entre les deux héros et surtout de la découverte de sa nouvelle libido à Hudson. de fille frigide, elle en devient la grosse cochonne qui s'exhibe à tout va .
Je suis très étonnée car Elle Kennedy m'avait habitué à beaucoup mieux en romance érotique, au mois avec Off Campus, elle avait une histoire qui tenait la route. Elle avait une bonne base mais elle s'est empêtrée dans les parties de jambes en l'air qui donne une image plus que libertine de la Terre Libre.
Elle Kennedy attend les 3 derniers chapitres pour redonner un souffle à son premier tome en revenant sur la trame dystopique et laisser envisager un avenir serein aux insurgés.
Le tandem Hudson/Connor n'est pas la meilleure mise en bouche. L'adonis m'a fait ni chaud ni froid, c'est simple je lui préfère le sympathique Rylan particulièrement drôle dans ses interventions. Hudson soit disant une femme courageuse, à part donner son minou en pâture et qui mouille à tout va, j'ai été déçue par le portrait brossé par l'auteure. J'ai connu les personnages d'Elle Kennedy bien plus féministe qu'elle et même si elle assumait leur sexualité débridée. J'ai beau avoir l'esprit ouvert, les scènes érotiques m'ont mise mal à l'aise car elles n'apportaient rien à la trame principale.
Je repousse mon coup de gueule sur la traduction linéaire et le manque de relecture de la maison d'édition. Cela commence à devenir récurent.
Je n'abandonne pas cependant la saga car je me dis que cela ne peut pas être pire. Enfin je l'espère.
