Il y a quelques années, je me suis bornée à aller jusqu'au bout de
la Vie est brève et le désir sans fin de
Patrick Lapeyre. Je retrouve aujourd'hui dans
le Désamour d'
Antonia Kerr, tout ce que j'ai détesté chez Lapeyre il y a 4 ans.
A savoir, un couple qui se détruit lui-même, qui se confond en cynisme, qui parle d'amour en donnant l'impression de ne s'être jamais aimé tant que ça. Un couple où chacun se morfond dans ses angoisses de désamour et d'abandon, se complait dans son égoïsme. Comme on dit vulgairement, qui se touche la nouille.
Lien :
http://memelesoiesaimentsali.. Commenter  J’apprécie         51