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Citations sur Intimes confidences (9)

-Vous êtes une singulière femme! Savez-vous qu'il y a de l'homme en vous?
-Croyez-vous me faire un grand compliment? Une femme ne vaut-elle pas un homme?
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Moi je serais le magicien duquel surgira une gigantesque fresque humaine. J'insufflerai à mes personnages la vie, entendez par là la vraie vie. Celle qui se cache derrière les beaux sentiments, celle qui se murmure mais ne se dit pas! J'ai aussi pour dessein de parler de la femme. N'est-ce pas un beau sujet de réflexion? Son rôle est immense : fille, épouse, mère, amante! Aussi lui donnerai-je sa vraie place dans la société.
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La déclaration d'amour directe, presque brutale, l'avait flattée. Mais une fois de plus, Laure se dit que, chez un homme aussi jeune, tout cela n'était que fantaisie sans lendemain.
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Balzac se montrait dans l’intimité comme il était dans la vie : passionné, fragile et d’un égoïsme monumental.
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[Q]uand on est jeune, vous le savez comme moi, tout vous imprègne, vous modèle. L’imagination est alors vive. C’est un peu comme si vous viviez en plein vent, vous vous laissez fouetter par toutes les idées, toutes les modes qui passent. Plus tard, vous vous apercevez que le temps, les événements n’ont plus prise sur vous ; c’est la frilosité de l’âge mûr qui s’installe.
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Balzac était un homme dangereux, un de ces grands enfants égoïstes qui aimait les femmes pour ce qu’elles pouvaient lui offrir et non pour ce qu’il pouvait leur apporter.
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[A]ucune dame de la cour impériale n’a tenu tête à l’Empereur comme la duchesse d’Abrantès.
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- Je serais un romancier comme il n'en existe pas encore. Mon oeuvre sera colossale ... Oui colossale!
Laure avait écouté, subjuguée, le flot de paroles qui s'était déversé à flux tendus. Quand la voix puissante cessa de mugir, elle resta quelques secondes sans parler, toute mauvaise humeur évanouie. Le jeune homme, lui, semblait ailleurs. Pour le sortir de ses rêves, elle lui dit avec la douceur de ton qu'elle aurait prise pour tirer un enfant du sommeil:
- Mon cher, je vous en prie, prenez place et faisons la paix. Dans ce but, je vous propose d'établir les règles du jeu je vous parle de Napoléon si, en contrepartie vous me parlez de vous.
- Soit, fit-il, désarçonné.
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L'examen terminé, il ne se demanda pas si la duchesse était jolie, car selon lui elle était mieux que cela. Elle possédait l'aisance, la distinction innée qui ne se trouvent que chez la femme du monde, l'art de se vêtir simplement mais avec goût et un charme qui l'avait, dès le premier regard, conquis. A cela, il fallait ajouter une manière de raconter, une vivacité, une finesse et un ton de voix un peu rauque qui étonnait chez une femme à l'apparence si fragile.
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