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Critique de XavierMtl
LE chef d'oeuvre de Stephen King c'est 22/11/63. Sans aucun doute.
Dans ce roman, l'assassinat de Kennedy que le personnage principal Jack Epping doit éviter, ne sert que de prétexte à un retour dans le passé.
Et à travers le regard de ce professeur d'anglais, on ressent les années 50/60 américaines. On en ressent cette ambiance joviale de l'Amérique d'après-guerre.
La musique, la danse, le cinéma, les personnages... Tout transpire le bonheur des années 50.
Bien sûre on suit toujours en fil rouge la traque de Lee Harvey Oswald mais ce n'est qu'une histoire secondaire.
C'est un roman d'amour.
Une histoire d'amour entre Jack Epping, un contemporain parti dans le passé et Sadie, une bibliothécaire vivant dans les années 1950.
Dans ce roman, l'assassinat de Kennedy que le personnage principal Jack Epping doit éviter, ne sert que de prétexte à un retour dans le passé.
Et à travers le regard de ce professeur d'anglais, on ressent les années 50/60 américaines. On en ressent cette ambiance joviale de l'Amérique d'après-guerre.
La musique, la danse, le cinéma, les personnages... Tout transpire le bonheur des années 50.
Bien sûre on suit toujours en fil rouge la traque de Lee Harvey Oswald mais ce n'est qu'une histoire secondaire.
C'est un roman d'amour.
Une histoire d'amour entre Jack Epping, un contemporain parti dans le passé et Sadie, une bibliothécaire vivant dans les années 1950.
