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Critique de Iboo
Je n'en reviens pas ! Après m'être dit à moult reprises : "Bon sang, l'ennui ! Demain, je me trouve un autre bouquin !", j'ai réussi à le terminer.
Bon... ok, je l'avais, quand même, déjà abandonné deux fois et j'ai lu de nombreuses pages en diagonale. Mais je suis arrivée au bout.
Sans vouloir être désobligeante plus que nécessaire, je dirais que c'est le genre de bouquins dont, si on tape dans un réverbère, il en tombe cinquante de la même trempe.
On relève dans le monde littéraire, une nouvelle génération d'auteurs - principalement des femmes et principalement Américaines (Shelly King, Anna Todd, E.L. James et autres) - qui, subitement, se découvrent écrivains - une similitude dans le style qui les rend pratiquement interchangeables. Ça délaye, ça se répète, c'est confus, amateur, paresseux, facile et mièvre. Mais c'est commercialement une réussite. Et tant mieux pour elles ! Après tout, elles ne font de mal à personne. Mais bon...
Alors, me direz-vous à juste titre, pourquoi l'ai-je lu ?
Et bien, dans un premier temps, parce qu'il me restait à valider le poste "romance" de notre challenge lecture entre copains. Et, dans un second, parce que, l'été, j'ai un emploi du temps relativement chargé, je me disperse pas mal et, par conséquent, je sélectionne des lectures faciles qui ne nécessitent pas une grande concentration.
Comment ce livre est-il arrivé entre mes mains ?
Rassurez-vous, il ne m'a pas coûté un kopeck !
Depuis deux ou trois ans, nos amis marnais qui nous font la joie de venir nous trouver chaque été pour une petite semaine de vacances, ont pris la géniale habitude de m'apporter des cartons et des sacs pleins de livres dont eux-mêmes ou d'autres de leurs amis souhaitent se débarrasser.
Dès qu'ils sont repartis, je me console de leur absence et de la fin de nos joyeux moments partagés en m'asseyant par terre pour faire le tri de ces malles aux trésors. Je conserve tous ceux qui sont censés m'intéresser et remets tous les autres à mon amie Lily qui habite Rochefort afin qu'elle les dépose dans une "boite à lire".
Ainsi, rien n'est perdu. Les livres c'est sacré. Ce qui ne me plaît pas fera certainement le bonheur d'autres.
Tout comme ce livre, dont j'ai pu constater qu'il avait enchanté une majorité de ses lecteurs. La "magie" n'a pas opéré sur moi mais il va continuer de vivre dans une bibliothèque de rue et apporter du plaisir à des inconnus guidés par le hasard.
Bon... ok, je l'avais, quand même, déjà abandonné deux fois et j'ai lu de nombreuses pages en diagonale. Mais je suis arrivée au bout.
Sans vouloir être désobligeante plus que nécessaire, je dirais que c'est le genre de bouquins dont, si on tape dans un réverbère, il en tombe cinquante de la même trempe.
On relève dans le monde littéraire, une nouvelle génération d'auteurs - principalement des femmes et principalement Américaines (Shelly King, Anna Todd, E.L. James et autres) - qui, subitement, se découvrent écrivains - une similitude dans le style qui les rend pratiquement interchangeables. Ça délaye, ça se répète, c'est confus, amateur, paresseux, facile et mièvre. Mais c'est commercialement une réussite. Et tant mieux pour elles ! Après tout, elles ne font de mal à personne. Mais bon...
Alors, me direz-vous à juste titre, pourquoi l'ai-je lu ?
Et bien, dans un premier temps, parce qu'il me restait à valider le poste "romance" de notre challenge lecture entre copains. Et, dans un second, parce que, l'été, j'ai un emploi du temps relativement chargé, je me disperse pas mal et, par conséquent, je sélectionne des lectures faciles qui ne nécessitent pas une grande concentration.
Comment ce livre est-il arrivé entre mes mains ?
Rassurez-vous, il ne m'a pas coûté un kopeck !
Depuis deux ou trois ans, nos amis marnais qui nous font la joie de venir nous trouver chaque été pour une petite semaine de vacances, ont pris la géniale habitude de m'apporter des cartons et des sacs pleins de livres dont eux-mêmes ou d'autres de leurs amis souhaitent se débarrasser.
Dès qu'ils sont repartis, je me console de leur absence et de la fin de nos joyeux moments partagés en m'asseyant par terre pour faire le tri de ces malles aux trésors. Je conserve tous ceux qui sont censés m'intéresser et remets tous les autres à mon amie Lily qui habite Rochefort afin qu'elle les dépose dans une "boite à lire".
Ainsi, rien n'est perdu. Les livres c'est sacré. Ce qui ne me plaît pas fera certainement le bonheur d'autres.
Tout comme ce livre, dont j'ai pu constater qu'il avait enchanté une majorité de ses lecteurs. La "magie" n'a pas opéré sur moi mais il va continuer de vivre dans une bibliothèque de rue et apporter du plaisir à des inconnus guidés par le hasard.
