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Critique de BarbaraJeanne
Si vous lisez "Le corps" de Stephen King en pensant vous faire de belles frayeurs, vous vous trompez de roman.
Mais, si vous recherchez un King plus intimiste, un King où l'auteur nous donne un peu de lui, de son enfance, de ses pensées, alors vous y êtes.
Si vous cherchez un King où il nous parle de ces amitiés d'enfants , de ces liens si puissants que l'on a l'impression que plus jamais on ne retrouvera ça au cours de notre vie, alors vous avez choisi le bon livre.
Pas de fantastique, pas de surnaturel, pas de tour de passe-passe. Juste la vraie vie avec ses joies, ses peines et ce qu'elle peut avoir de cruelle et que l'on découvre à l'aube de ses treize ans.
La re-lecture de cette nouvelle, issue du recueil "Différentes saisons", a eu quelque chose de magique parce que, plus on prend de la bouteille, et plus on comprend où King a voulu nous emporter. Dans ces lieux lointains mais inoubliables qui ont fait battre nos coeurs adolescents, battre de joie mais aussi consumés par la peine et la colère.
Il nous renvoie à ces moments où nous n'étions déjà plus tout à fait des enfants mais pas encore des adultes avec tout ce que cela comporte de douceur mais aussi de douleur. La fin de l'insouciance mais pas tout à fait encore...
Pour finir je citerai une des plus jolie phrases de ce récit : "Les choses les plus importantes sont les plus difficiles à dire, les mots les amoindrissent. Il est difficile de faire en sorte que des inconnus s'intéressent aux bons moments de votre vie".
Mais, si vous recherchez un King plus intimiste, un King où l'auteur nous donne un peu de lui, de son enfance, de ses pensées, alors vous y êtes.
Si vous cherchez un King où il nous parle de ces amitiés d'enfants , de ces liens si puissants que l'on a l'impression que plus jamais on ne retrouvera ça au cours de notre vie, alors vous avez choisi le bon livre.
Pas de fantastique, pas de surnaturel, pas de tour de passe-passe. Juste la vraie vie avec ses joies, ses peines et ce qu'elle peut avoir de cruelle et que l'on découvre à l'aube de ses treize ans.
La re-lecture de cette nouvelle, issue du recueil "Différentes saisons", a eu quelque chose de magique parce que, plus on prend de la bouteille, et plus on comprend où King a voulu nous emporter. Dans ces lieux lointains mais inoubliables qui ont fait battre nos coeurs adolescents, battre de joie mais aussi consumés par la peine et la colère.
Il nous renvoie à ces moments où nous n'étions déjà plus tout à fait des enfants mais pas encore des adultes avec tout ce que cela comporte de douceur mais aussi de douleur. La fin de l'insouciance mais pas tout à fait encore...
Pour finir je citerai une des plus jolie phrases de ce récit : "Les choses les plus importantes sont les plus difficiles à dire, les mots les amoindrissent. Il est difficile de faire en sorte que des inconnus s'intéressent aux bons moments de votre vie".
