Traduit de l'anglais par
Martine Aubert
J'abandonne aussi ce livre, page 398, comme "L'homme de la scierie". Je ne prends aucun plaisir à la découverte de ces vies. Je m'ennuie. Sauf quand il est question de Darwin, très contesté au XIXe siècle ou lorsque la difficulté de se faire soigner aux Etats-Unis devient un sujet récurrent au XXIe siècle. Je me dis alors : vive la France et son système de santé, même défaillant.
J'étais curieuse, pourtant, car j'avais déjà lu du
Barbara Kingsolver. J'avais moyennement aimé, autant qu'il m'en souvienne, mais je n'avais pas abandonné.
Alors, vite, passons à autre chose.
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