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Critique de Skritt
Ce dix-huitième album fait suite à l'album précédent. Rick ne souhaite se soumettre aux sauveurs mais gagne du temps en prétextant le contraire. Mais un imprévu se déroule, son fils s'est planqué dans un camion qui ramène les sauveurs chez eux…
Cet album encore une fois montre l'enfoncement des hommes dans la barbarie, mais certains essayent de recréer une société car ils l'ont bien compris, sans règle, ça ne fonctionne pas. Et chacun établit des règles comme il l'entend. Negan a établi un totalitarisme où la violence et le sexe sont au centre de cette société créée, sa société, ses plaisirs.
Ce renouveau lancé il y a deux albums avec la découverte de la colline permet au lecteur de prendre toujours autant de plaisir à la lecture dans cet univers post-apocalyptique où finalement les zombies ne sont que des figurants.
Au niveau du graphisme, il y a quand même une amélioration qui s'était fait sentir dans l'album précédent. Les visages sont de mieux en mieux travaillés.
Un album intéressant qui ne décevra pas.
Cet album encore une fois montre l'enfoncement des hommes dans la barbarie, mais certains essayent de recréer une société car ils l'ont bien compris, sans règle, ça ne fonctionne pas. Et chacun établit des règles comme il l'entend. Negan a établi un totalitarisme où la violence et le sexe sont au centre de cette société créée, sa société, ses plaisirs.
Ce renouveau lancé il y a deux albums avec la découverte de la colline permet au lecteur de prendre toujours autant de plaisir à la lecture dans cet univers post-apocalyptique où finalement les zombies ne sont que des figurants.
Au niveau du graphisme, il y a quand même une amélioration qui s'était fait sentir dans l'album précédent. Les visages sont de mieux en mieux travaillés.
Un album intéressant qui ne décevra pas.
