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Critique de bdelhausse
Voici ce qui apparaît comme un tome "de transition"... et pourtant !
Il est riche d'enseignements, et de pistes pour le futur. Carl prend de l'assurance et commence à commettre des erreurs... Bon sang ne saurait mentir dit-on, il se laisse emporter par ses pulsions et ne maîtrise pas vraiment ses jugements. Comme son père, il semble penser que ce qu'il dit est vrai et doit s'imposer... Il a encore du chemin à parcourir. Et il lui faudra assumer ses choix.
Murmures montre combien il est difficile de tenir une communauté, qu'elle soit sédentaire ou nomade. C'est la rencontre de deux mondes, avec leurs avantages et leurs inconvénients. Tuer tout ce que l'on rencontre vs. le pardon intégral... il faut choisir.
Maggie tient sa communauté, mais elle se fissure. Là encore, des choix s'imposent. La colère gronde. On touche ici aussi à des fondements de la vie en communauté... Maggie n'a pas été élue, elle s'est imposée. Sans doute un peu trop rapidement.
Je ne qualifierai donc pas ce tome de transition. Il s'agit d'un tome qui permet de réfléchir aux valeurs, aux options, à la direction que l'on entend prendre. J'y ai retrouvé le souffle de certains des premiers tomes.
Bref, 138 pages très denses, qui ouvrent pas mal de portes. Avec de splendides illus pleine page, comme cete langue dans l'orbite de Carl... Raaah, j'en ai encore des frissons.
Il est riche d'enseignements, et de pistes pour le futur. Carl prend de l'assurance et commence à commettre des erreurs... Bon sang ne saurait mentir dit-on, il se laisse emporter par ses pulsions et ne maîtrise pas vraiment ses jugements. Comme son père, il semble penser que ce qu'il dit est vrai et doit s'imposer... Il a encore du chemin à parcourir. Et il lui faudra assumer ses choix.
Murmures montre combien il est difficile de tenir une communauté, qu'elle soit sédentaire ou nomade. C'est la rencontre de deux mondes, avec leurs avantages et leurs inconvénients. Tuer tout ce que l'on rencontre vs. le pardon intégral... il faut choisir.
Maggie tient sa communauté, mais elle se fissure. Là encore, des choix s'imposent. La colère gronde. On touche ici aussi à des fondements de la vie en communauté... Maggie n'a pas été élue, elle s'est imposée. Sans doute un peu trop rapidement.
Je ne qualifierai donc pas ce tome de transition. Il s'agit d'un tome qui permet de réfléchir aux valeurs, aux options, à la direction que l'on entend prendre. J'y ai retrouvé le souffle de certains des premiers tomes.
Bref, 138 pages très denses, qui ouvrent pas mal de portes. Avec de splendides illus pleine page, comme cete langue dans l'orbite de Carl... Raaah, j'en ai encore des frissons.
