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Critique de florencem
Je ne savais pas trop à quoi m'attendre avec ce onzième tome. Je craignais que la phase d'entraînement soit un peu ennuyeuse, mais en fin de compte, elle a plutôt été fort sympathique. Et cela grâce à l'apparition de Jiraya. Kakashi devant s'occuper de Sasuke, Naruto n'avait pas vraiment de maître de remplacement. Enfin, il y avait toujours le professeur du petit fils de l'Hokage, mais... comment dire... le type n'avait pas laissé une très bonne impression lors de notre dernière rencontre avec lui. C'est donc avec soulagement qu'on le voit disparaître rapidement.
Jiraya est tout de suite attachant. Bon, c'est un pervers qui s'assume, certes, mais il a un sens de l'humour et une attitude assez semblables à ceux de Naruto. Ce dernier, d'ailleurs, lui rentre dedans sans ménagement. Les premières scènes entre les deux sont assez comiques et en même temps, on sent qu'un lien se crée. Sans compter qu'on arrive très rapidement à comprendre que Jiraya n'est pas qu'un branquignol. Son aspect déjà, mais aussi ses réflexions face à notre jeune héros ne laissent pas trop de doute. Mais j'aime beaucoup l'idée d'en faire un personnage désinvolte et puissant à la fois. Ce sont souvent les meilleurs dans les shonen, d'ailleurs.
S'en suit l'entraînement de Naruto. L'enfant a bien pris conscience de la présence du démon renard en lui. Il faut maintenant qu'il arrive à exploiter l'animal. Une tâche pas si évidente que cela, surtout que Kyubi ne doit pas vraiment apprécier son enfermement. Mais là encore, il y a un grand potentiel à exploiter. J'espère que le mangaka poussera cette relation pour en faire quelque chose de sympathique, car il y a matière, sans compter le côté dramatique.
Gaara a aussi sa petite heure de gloire dans ce tome. On en apprend plus sur lui et surtout son enfance. Sans grande surprise... elle n'a pas été rose et c'est le moins que l'on puisse dire. Cependant, et malgré la violence dont il fait preuve à plusieurs reprises, on sent aussi que quelque chose s'est brisé en lui. Depuis son arrivée à Konoha, il a pu assister à différentes scènes mettant en avant des émotions positives, choses qu'il ne doit pas connaître, et cela semble l'ébranler sans qu'il le comprenne. Un autre choix intéressant, bien que simple dans sa résolution. A voir comment cela va être traité ensuite.
Jiraya est tout de suite attachant. Bon, c'est un pervers qui s'assume, certes, mais il a un sens de l'humour et une attitude assez semblables à ceux de Naruto. Ce dernier, d'ailleurs, lui rentre dedans sans ménagement. Les premières scènes entre les deux sont assez comiques et en même temps, on sent qu'un lien se crée. Sans compter qu'on arrive très rapidement à comprendre que Jiraya n'est pas qu'un branquignol. Son aspect déjà, mais aussi ses réflexions face à notre jeune héros ne laissent pas trop de doute. Mais j'aime beaucoup l'idée d'en faire un personnage désinvolte et puissant à la fois. Ce sont souvent les meilleurs dans les shonen, d'ailleurs.
S'en suit l'entraînement de Naruto. L'enfant a bien pris conscience de la présence du démon renard en lui. Il faut maintenant qu'il arrive à exploiter l'animal. Une tâche pas si évidente que cela, surtout que Kyubi ne doit pas vraiment apprécier son enfermement. Mais là encore, il y a un grand potentiel à exploiter. J'espère que le mangaka poussera cette relation pour en faire quelque chose de sympathique, car il y a matière, sans compter le côté dramatique.
Gaara a aussi sa petite heure de gloire dans ce tome. On en apprend plus sur lui et surtout son enfance. Sans grande surprise... elle n'a pas été rose et c'est le moins que l'on puisse dire. Cependant, et malgré la violence dont il fait preuve à plusieurs reprises, on sent aussi que quelque chose s'est brisé en lui. Depuis son arrivée à Konoha, il a pu assister à différentes scènes mettant en avant des émotions positives, choses qu'il ne doit pas connaître, et cela semble l'ébranler sans qu'il le comprenne. Un autre choix intéressant, bien que simple dans sa résolution. A voir comment cela va être traité ensuite.
