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Critique de florencem
Alors pour commencer, je ne sais pas si les premières pages de ce tome sont inédites ou bien si elles sont déjà parues dans un tome précédent, mais si c'est le cas… c'est bien dommage. J'ai eu un soucis d'impression avec le volume quarante deux, j'espère donc ne rien avoir raté d'important…
Comme on pouvait s'en douter, un tome triste mais digne qui nous montre un Naruto déprimé, chose assez rare pour nous donner un pincement au coeur. Fort heureusement, notre héros est bien entouré, et ses amis lui redonnent le moral, ainsi qu'un nouveau but plein d'espoir, une manière de rendre hommage à son maître. J'aime beaucoup la direction que prend cette génération, sous l'impulsion de Shikamaru en grande partie. C'est aussi une très belle façon de voir la vie, et plus je lis ce manga, plus je me dis que j'aimerai voir ce nouveau monde que nos jeunes héros vont construire.
Malheureusement, Konoha est sans le savoir menacé par deux ennemis. Pain et Sasuke. Si le premier est bien dans l'optique du méchant de base qui est là pour éradiquer tout ce qui se trouve sur son passage, Sasuke a lui, une façon plus réfléchi de voir les choses. Je suis plutôt satisfaite de voir que le mangaka n'a pas choisi de faire de Sasuke un personnage consumé par la vengeance. Il a un but, qui est de se venger, certes, mais il n'a pas encore basculé dans la folie et la noirceur. Pour moi, il est encore possible de le sauver, mais ça ne sera pas sans douleur.
Si la première partie du tome était émotionnellement intéressante et prenante, la seconde était plutôt inégale. Autant, la partie au l'équipe du Faucon s'attaque au démon à huit queues est plutôt sympa, autant l'entraînement de Naruto avec les grenouilles est plus dans un ambiance loufoque et ridicule. Je ne suis vraiment pas fan de ce concept… Comme le fait de rendre ridicule le personnage de Karin. Alors, certes, cela équivaut à une descente de pression, et l'atmosphère générale est moins lourde, mais on perd en crédibilité. Surtout quand on voit le combat avec Hachibi. Bon, le personnage est lui aussi trop caricaturé, et il en devient lourd, mais il fait au moins la démonstration de ce qu'une personne peut accomplir quand il est en phase avec son démon. Donc potentiellement, ce que Naruto pourrait devenir. Deux poids, deux mesures… Je comprends que ce tome avait besoin d'un côté un peu guilleret mais quelque fois, le sérieux a du bon…
Comme on pouvait s'en douter, un tome triste mais digne qui nous montre un Naruto déprimé, chose assez rare pour nous donner un pincement au coeur. Fort heureusement, notre héros est bien entouré, et ses amis lui redonnent le moral, ainsi qu'un nouveau but plein d'espoir, une manière de rendre hommage à son maître. J'aime beaucoup la direction que prend cette génération, sous l'impulsion de Shikamaru en grande partie. C'est aussi une très belle façon de voir la vie, et plus je lis ce manga, plus je me dis que j'aimerai voir ce nouveau monde que nos jeunes héros vont construire.
Malheureusement, Konoha est sans le savoir menacé par deux ennemis. Pain et Sasuke. Si le premier est bien dans l'optique du méchant de base qui est là pour éradiquer tout ce qui se trouve sur son passage, Sasuke a lui, une façon plus réfléchi de voir les choses. Je suis plutôt satisfaite de voir que le mangaka n'a pas choisi de faire de Sasuke un personnage consumé par la vengeance. Il a un but, qui est de se venger, certes, mais il n'a pas encore basculé dans la folie et la noirceur. Pour moi, il est encore possible de le sauver, mais ça ne sera pas sans douleur.
Si la première partie du tome était émotionnellement intéressante et prenante, la seconde était plutôt inégale. Autant, la partie au l'équipe du Faucon s'attaque au démon à huit queues est plutôt sympa, autant l'entraînement de Naruto avec les grenouilles est plus dans un ambiance loufoque et ridicule. Je ne suis vraiment pas fan de ce concept… Comme le fait de rendre ridicule le personnage de Karin. Alors, certes, cela équivaut à une descente de pression, et l'atmosphère générale est moins lourde, mais on perd en crédibilité. Surtout quand on voit le combat avec Hachibi. Bon, le personnage est lui aussi trop caricaturé, et il en devient lourd, mais il fait au moins la démonstration de ce qu'une personne peut accomplir quand il est en phase avec son démon. Donc potentiellement, ce que Naruto pourrait devenir. Deux poids, deux mesures… Je comprends que ce tome avait besoin d'un côté un peu guilleret mais quelque fois, le sérieux a du bon…
