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Critique de NicolaK


Ce roman, que j'ai d'abord lu en version originale, a été traduit en français et son titre en est La porte rouge. J'avais rédigé ce retour lors de ma première lecture en VO, et l'ai oublié dans mon cahier. Suite à ma lecture de la version française, j'en ai fait un autre retour, oubliant complètement celui-ci.
Ce qui m'amuse, c'est que je m'aperçois que ma façon d'aborder ce livre et mes impressions sont légèrement différentes d'une version à l'autre, mais pas mon avis, évidemment, alors je me suis dit que j'allais poster celle-ci quand même.
Les instances gouvernementales ont perdu la tête, tous semblent atteints d'une aliénation aussi subite qu'inexpliquable. le couple de héros, vedettes du roman, sont poursuivis sans relâche parce que bien entendu, il faut les faire taire.
L'un d'eux, Spencer, est tombé amoureux d'une serveuse rencontrée dans un bar. Il se met à fréquenter l'endroit assidûment, mais un jour, elle ne vient pas travailler. Inquiet, il se rend à son domicile, pour s'apercevoir que le SWAT est sur place et qu'ils ne viennent pas gentiment faire la causette.
Spencer et sa chérie s'engagent dans une fuite désespérée pour échapper à leurs poursuivants, sans même comprendre ce qui leur arrive.
Pendant toute la première partie du livre, l'auteur ne nous parle que de Spencer et des secrets qui le hantent. Seul signe visible de ses stigmates intérieurs, une cicatrice.
Nous ne faisons la connaissance de sa chérie poursuivie qu'environ à la moitié du livre, mais cela ne pose aucun problème, puisque les descriptions de la vie du héros suffisent à nous tenir en haleine et à nous prendre aux tripes.Et nous ne connaîtrons la raison pour laquelle la jeune femme est poursuivie qu'en fin de récit.
Le moins que l'on puisse dire, c'est que Dean Koontz n'est pas tendre avec les organismes gouvernementaux et ces gens qui nous dirigent. Je n'aime pas trop la politique (et c'est un euphémisme), mais j'ai trouvé ce roman passionnant.
Comme d'habitude, personnages décrits à la perfection, on adore les gentils, on déteste les méchants et on sait pourquoi, l'atmosphère est assez pesante pour qu'on ait notre dose de sensatons et qu'on s'immerge dans le récit.
Encore une fois, du grand Koontz.
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