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Critique de MadameTapioca


Après « Homo sapienne », NIviaq Korneliussen revient avec « La vallée des fleurs » nous emporter dans les bras de la jeunesse groenlandaise ; Elle revient avec sa radicalité, sa crudité et son hypersensibilité pour nous parler de l'épidémie de suicides qui ronge le pays. On ne le sait pas obligatoirement mais le Groenland a le taux de suicide le plus élevé du monde et ce sont principalement les jeunes qui sont touchés.

Je tourne autour de cette chronique depuis 3 semaines mais je n'arrive absolument pas en parler correctement. Il est question d'identité, d'amour, de solitude, de liberté. C'est beau et profond. Parfois drôle avec pourtant un sentiment de malaise. Comme dans son précédent roman, la noirceur et la lumière, le doux et l'amer se mélangent pour arriver à un équilibre précaire. Par contre la forme est moins détonante que dans « Homo sapienne », avec notamment le choix d'un récit linéaire. C'est sans doute la raison pour laquelle je n'ai pas eu tout à fait le même coup de coeur.

Traduit par Inès Jorgensen
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