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Critique de Gaoulette
Lu dans le cadre du challenge Multi-défi 2019.
Attention cette critique contient des SPOILES.... Un gros coup de gueule et pour en parler je dois dévoiler quelques intrigues.
Incohérence quand tu nous tiens...
Stace Kramer 16 ans à l'époque de la sortie de son premier roman, nous offre une histoire offensante sur beaucoup de points. Un roman pseudo fictif mais sur la quatrième de couverture nous annonce que c'est tiré de son vécue. Un roman qui a fait polémique et cela ne m'étonne pas. Je ne parle pas de l'apologie du suicide, la dépression juvenile... Impression que Stace Kramer se foutait clairement de notre tête. Un roman bourré d'incohérences et cela sur 588 pages.
Les spoiles : J'ai 16 ans, je suis agressée et mes parents ignorent tout car je le décide alors que je suis hospitalisée et entendue par la police. Mais oui bien sur, tout est possible dans un roman. Ah oui, j'ai une maman qui decouvre une secte et est enrolée dés le premier contact. D'ailleurs à 16 ans j'ai mon mot à dire pour la faire hospitaliser alors que j'ai un papa qui vit toujours à la maison. Je pars en week-end à Paris et je peux même acheter une robe de mariée un dimanche. Ils sont gentils ces commerçants parisiens. En 50 jours, j'ai failli avoir deux ou trois tentative de viol, je suis kidnappée mais tout cela caché de mes parents, beaucoup de fugues et une rencontre un peu cocasse avec un pseudo groupe de rock... Mademoiselle tombe amoureuse 3 fois, quel record ! Et j'en passe.... Trop d'évenements roccambolesques.
L'auteure aurait pu avoir un histoire percutante mais elle part dans tous les sens. Un final qui ne correspond en rien avec l'idée de départ. Une prémière partie qui dépeint une héroine détestable. Je peux comprendre le foyer disfonctionnel, le père excessif, la mère acariatre, mais un peu de crédibilité, nom d'une cacahuète. Je me demande encore ce que l'auteure a voulu démontrer avec son roman choc.
Un roman offensant selon moi. J'ai eu cette impression que pour Gloria, l'héroine, le suicide était sa lubie du moment. Pourtant à certains passages trés rares, j'ai senti que cette fille souffrait et s'était perdue depuis un moment en route. D'ailleurs si je peux me permettre, sur 50 chapitres seuls 2 sont bons et cohérents. Stace Krame s'est engouffrée dans un sujet qu'elle ne maitrise pas. le road trip et le cadre familial malsain suffisaint largement pour une bonne trame. Elle aurait atteint son but malgré son final allambiqué. On restait cohérent avec le titre allarmant. Et puis je n'aurais pas eu cette montée de colère dans le 3/4 du roman.
On se pose beaucoup de questions. L'auteure a t'elle déjà mis les pieds dans une école ? A t'elle déjà regardé une série policère ? Connu une femme enceinte ? Visiter un hopital psychiatrique ? Organiser et participer à un bal de promo ? Quand on écrit on se renseigne, on évite d'écrire du grand n'importe quoi. C'est bien d'inventer, je suis pour, mais un mininum de cohérence et de crédibilité quand même. Chaque jour, Gloria vivait une déconvenue tirée par les cheveux et souvent dû à sa bétise personnelle.
Alors je m'engage personnellement dans cette critique. Ce roman jeunesse est une honte pour les adolescents qui souffrent. Il n'est pas à mettre dans toutes les mains. Je comprends la polémique. Je le répète, quand on ne maitrise pas un sujet, on se garde d'écrire dessus.
Ce n'est pas une déception, c'est un coup de colère.
Attention cette critique contient des SPOILES.... Un gros coup de gueule et pour en parler je dois dévoiler quelques intrigues.
Incohérence quand tu nous tiens...
Stace Kramer 16 ans à l'époque de la sortie de son premier roman, nous offre une histoire offensante sur beaucoup de points. Un roman pseudo fictif mais sur la quatrième de couverture nous annonce que c'est tiré de son vécue. Un roman qui a fait polémique et cela ne m'étonne pas. Je ne parle pas de l'apologie du suicide, la dépression juvenile... Impression que Stace Kramer se foutait clairement de notre tête. Un roman bourré d'incohérences et cela sur 588 pages.
Les spoiles : J'ai 16 ans, je suis agressée et mes parents ignorent tout car je le décide alors que je suis hospitalisée et entendue par la police. Mais oui bien sur, tout est possible dans un roman. Ah oui, j'ai une maman qui decouvre une secte et est enrolée dés le premier contact. D'ailleurs à 16 ans j'ai mon mot à dire pour la faire hospitaliser alors que j'ai un papa qui vit toujours à la maison. Je pars en week-end à Paris et je peux même acheter une robe de mariée un dimanche. Ils sont gentils ces commerçants parisiens. En 50 jours, j'ai failli avoir deux ou trois tentative de viol, je suis kidnappée mais tout cela caché de mes parents, beaucoup de fugues et une rencontre un peu cocasse avec un pseudo groupe de rock... Mademoiselle tombe amoureuse 3 fois, quel record ! Et j'en passe.... Trop d'évenements roccambolesques.
L'auteure aurait pu avoir un histoire percutante mais elle part dans tous les sens. Un final qui ne correspond en rien avec l'idée de départ. Une prémière partie qui dépeint une héroine détestable. Je peux comprendre le foyer disfonctionnel, le père excessif, la mère acariatre, mais un peu de crédibilité, nom d'une cacahuète. Je me demande encore ce que l'auteure a voulu démontrer avec son roman choc.
Un roman offensant selon moi. J'ai eu cette impression que pour Gloria, l'héroine, le suicide était sa lubie du moment. Pourtant à certains passages trés rares, j'ai senti que cette fille souffrait et s'était perdue depuis un moment en route. D'ailleurs si je peux me permettre, sur 50 chapitres seuls 2 sont bons et cohérents. Stace Krame s'est engouffrée dans un sujet qu'elle ne maitrise pas. le road trip et le cadre familial malsain suffisaint largement pour une bonne trame. Elle aurait atteint son but malgré son final allambiqué. On restait cohérent avec le titre allarmant. Et puis je n'aurais pas eu cette montée de colère dans le 3/4 du roman.
On se pose beaucoup de questions. L'auteure a t'elle déjà mis les pieds dans une école ? A t'elle déjà regardé une série policère ? Connu une femme enceinte ? Visiter un hopital psychiatrique ? Organiser et participer à un bal de promo ? Quand on écrit on se renseigne, on évite d'écrire du grand n'importe quoi. C'est bien d'inventer, je suis pour, mais un mininum de cohérence et de crédibilité quand même. Chaque jour, Gloria vivait une déconvenue tirée par les cheveux et souvent dû à sa bétise personnelle.
Alors je m'engage personnellement dans cette critique. Ce roman jeunesse est une honte pour les adolescents qui souffrent. Il n'est pas à mettre dans toutes les mains. Je comprends la polémique. Je le répète, quand on ne maitrise pas un sujet, on se garde d'écrire dessus.
Ce n'est pas une déception, c'est un coup de colère.
