Ca a le goût comique, la saveur du léger et la futilité d'un artiste maudit.
Que neni, camarades.
Ici
Larcenet nous raconte la guerre avec comme héros van Gogh de son prénom Vincent. Je pensais rire grace à cette BD en me moquant de tout ( ... C'est la mode, hélas... ) et là, paf je ris jaune voir jaune vomi...
Très beau moment de lecture sur la débilité de la guerre. Avec un moment poétique avec les engoulevents... Ouais c'est bizarre ce rapport guerre/poésie mais... lisez vous ne serez pas déçu.
Etonnant, voir poétiquement perturbant...
A lire jusqu'à plus soif.
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