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Critique de Follepicarde
Anita Blake est une drôle de petite bonne femme : elle exerce un métier peu commun, elle est réanimatrice. Elle a le don de relever les morts. En gros, elle est une créatrice de zombies. Pourquoi et commun on ne sait pas, mais toujours est-il qu'elle gagne sa vie en proposant aux familles de faire leur dernier adieu, revoir un être cher, se faire pardonner ou aider la police à résoudre des meurtres. Et après on les remet gentiment dans leur tombe.
Comme toute héroïne qui se respecte, elle a aussi un autre hobby : tuer les vampires. Elle leur voue une haine terrible ( Encore une fois, pourquoi ? Mystère...) et prend un malin plaisir à leur mettre un pieu dans le coeur, façon old school. Mais la voilà embarquée dans une affaire malgré elle : trouver un serial killer de vampire ou la maitresse de la ville sinon éliminera une de ses amies, puis fera d'elle son esclave pour l'éternité.
Bref les zombies, c'est bien, les vampires, c'est mal.
Mon tort a été découvrir Mercedes Thompson avant Anita Blake. de ce fait, la réanimatrice de cadavre et chasseuse de vampire parait bien fade à coté de notre coyote girl. Un premier tome qui se lit, mais qui ne me donne pas particulièrement envie d'en savoir plus. Anita n'a pas su m'émouvoir. La couverture très kitch ainsi que le titre jouent sur un registre sulfureux, hors personne ici ne tombe la culotte. Donc je ne vois pas l'intérêt à part te coller la honte si tu lis ça dans les transports en commun.
Comme toute héroïne qui se respecte, elle a aussi un autre hobby : tuer les vampires. Elle leur voue une haine terrible ( Encore une fois, pourquoi ? Mystère...) et prend un malin plaisir à leur mettre un pieu dans le coeur, façon old school. Mais la voilà embarquée dans une affaire malgré elle : trouver un serial killer de vampire ou la maitresse de la ville sinon éliminera une de ses amies, puis fera d'elle son esclave pour l'éternité.
Bref les zombies, c'est bien, les vampires, c'est mal.
Mon tort a été découvrir Mercedes Thompson avant Anita Blake. de ce fait, la réanimatrice de cadavre et chasseuse de vampire parait bien fade à coté de notre coyote girl. Un premier tome qui se lit, mais qui ne me donne pas particulièrement envie d'en savoir plus. Anita n'a pas su m'émouvoir. La couverture très kitch ainsi que le titre jouent sur un registre sulfureux, hors personne ici ne tombe la culotte. Donc je ne vois pas l'intérêt à part te coller la honte si tu lis ça dans les transports en commun.
