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Critique de Hedrankopaline
Dans la catégorie "Je pensais ne pas piffrer".
Tout dans cet ouvrage me repoussait depuis des décennies ( c'est que ça date, Anita Blake ). La couv' franchement racoleuse, le titre digne d'un roman Harlequin, la dénomination "Bit-Lit" made in éditions Bragelonne qui résonne comme un sous-genre honteux de l'urban fantasy... J'avais donc un énorme apriori, aussi énorme que cette série qui pèse dans le milieu de la littérature fantastique avec ces 26 tomes à l'heure actuelle et on continue de compter. Eh puis, je me suis dit : Anita Blake, c'est un genre de classique et tu aimes bien les vampires, découvrir le tome fondateur, ça n'engage pas à se taper la ribambelle de petits frères si le premier est tout pourri. Il a d'abord fallu mettre la main dessus ; un rescapé sur une étagère d'une librairie alors que le tome 1 est en rupture de stock un peu partout sur les boutiques en ligne.
Bien m'en a pris parce que j'ai dévoré le roman ! On n'échappe pas aux poncifs du genre, mais peut-être que ce livre en a fixé certains ? C'est très Buffy-esque. L'univers où le vampirisme est mondialement reconnu et légalisé aux states est intéressant et pour ce qu'on en voit, ça peut se tenir avec différents aspects évoqués, certains changements sociétaux, la religion etc... C'est suffisamment bien dosé pour ne pas être indigeste et freiner l'histoire tout en laissant entendre que Laurell a réfléchi à son sujet.
La brune héroïne mexico-irlandaise nommée Anita Blake... Je m'attendais largement à pire, vu les avis survolés avant de lire à mon tour. Vu aussi le nombre de tomes qui attendent encore d'être lus, cette bonne première impression aura peut-être le loisir de se gâter, j'ai un peu cette intuition que Laurell K. Hamilton prépare le terrain l'air de rien avant d'irrépressiblement faire tomber son héroïne dans les clichés. Notamment avec les beaux mâles qui parsèment le récit. On verra ça, je compte poursuivre avec le Cadavre Rieur dès que possible.
Pour le moment, je ne regrette pas d'avoir fait le premier pas vers Anita. le style de l'auteure est super descriptif, j'aime bien. On n'a aucun mal à bien se représenter les scènes, à s'imaginer les personnages. Un bon point. En plus, ils sont diversifiés et bien écrits.
Non ce qui m'a choquée dans ce livre, c'est cette fin improbable. WHAT ?!?
Hormis ce point, qui met un point final à l'histoire du premier tome et pourrait laisser une mauvaise impression, c'est une série que je suis contente d'entamer. Ce premier exemplaire est distrayant et c'est dit sans air de supériorité un peu snob.
Un plaisir coupable, peut-être. ;)
Tout dans cet ouvrage me repoussait depuis des décennies ( c'est que ça date, Anita Blake ). La couv' franchement racoleuse, le titre digne d'un roman Harlequin, la dénomination "Bit-Lit" made in éditions Bragelonne qui résonne comme un sous-genre honteux de l'urban fantasy... J'avais donc un énorme apriori, aussi énorme que cette série qui pèse dans le milieu de la littérature fantastique avec ces 26 tomes à l'heure actuelle et on continue de compter. Eh puis, je me suis dit : Anita Blake, c'est un genre de classique et tu aimes bien les vampires, découvrir le tome fondateur, ça n'engage pas à se taper la ribambelle de petits frères si le premier est tout pourri. Il a d'abord fallu mettre la main dessus ; un rescapé sur une étagère d'une librairie alors que le tome 1 est en rupture de stock un peu partout sur les boutiques en ligne.
Bien m'en a pris parce que j'ai dévoré le roman ! On n'échappe pas aux poncifs du genre, mais peut-être que ce livre en a fixé certains ? C'est très Buffy-esque. L'univers où le vampirisme est mondialement reconnu et légalisé aux states est intéressant et pour ce qu'on en voit, ça peut se tenir avec différents aspects évoqués, certains changements sociétaux, la religion etc... C'est suffisamment bien dosé pour ne pas être indigeste et freiner l'histoire tout en laissant entendre que Laurell a réfléchi à son sujet.
La brune héroïne mexico-irlandaise nommée Anita Blake... Je m'attendais largement à pire, vu les avis survolés avant de lire à mon tour. Vu aussi le nombre de tomes qui attendent encore d'être lus, cette bonne première impression aura peut-être le loisir de se gâter, j'ai un peu cette intuition que Laurell K. Hamilton prépare le terrain l'air de rien avant d'irrépressiblement faire tomber son héroïne dans les clichés. Notamment avec les beaux mâles qui parsèment le récit. On verra ça, je compte poursuivre avec le Cadavre Rieur dès que possible.
Pour le moment, je ne regrette pas d'avoir fait le premier pas vers Anita. le style de l'auteure est super descriptif, j'aime bien. On n'a aucun mal à bien se représenter les scènes, à s'imaginer les personnages. Un bon point. En plus, ils sont diversifiés et bien écrits.
Non ce qui m'a choquée dans ce livre, c'est cette fin improbable. WHAT ?!?
Hormis ce point, qui met un point final à l'histoire du premier tome et pourrait laisser une mauvaise impression, c'est une série que je suis contente d'entamer. Ce premier exemplaire est distrayant et c'est dit sans air de supériorité un peu snob.
Un plaisir coupable, peut-être. ;)
