Isidore Ducasse,
Comte de Lautréamont, «
Les chants de Maldoror » : je rencontre cet opus, à l'adolescence, il me semble, dans un roman de
Troyat, « Les Eygletières » dont c'était le livre de chevet d'un des protagonistes …
De nombreuses citations émaillent en effet le roman ; des citations bizarres autant qu'étranges… sulfureuses… Vite, le libraire ! Il faut lire ça en intégralité : six « chants », divisés en 60 versets… C'est long...
Quarante ans plus tard, je n'ai toujours pas terminé cette lecture fastidieuse ; le sera-t-elle un jour ? J'en doute fort, tant le côté misanthrope jusqu'à l'outrance du texte me dérange. Ajoutons à cela mes difficultés avec tout ce qui touche de près ou de loin au surréalisme ; alors ici face à ce surréalisme gothique avant l'heure… Hum !
Il n'en reste pas moins que de temps à autre, au détour d'un rangement de bibliothèque, je « m'en refais » quelques pages, toujours aussi malaisées…
Il faut de tout, mais force est de constater que ce genre d'ouvrage ne me touche pas…
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