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Critique de sorcika01
Marc Lavoine se dévoile et nous livre sa famille sur un plateau… sans mensonges… Lui, tellement habitués aux frasques et histoires détournées de son père, anarchiste de la première heure, coureur de jupons et personnage haut en couleur.
L'écriture est fine et poétique, je n'en attendais bien sûr pas moins de lui (#chouchou) mais j'ai dégusté chaque chapitre. D'abord, comme un roman back to the seventies, tout y est collector : les voitures, les musiques, les vêtements et bien sûr les gens : cette insouciance, cette liberté, ces premières découvertes, les congés payés, le camping sauvage…
Je n'ai pu m'empêcher de tirer des parallèles avec ma propre histoire : aussi éloignés et différents puissions-nous être, nous avons tous notre lot de malheurs et bonheurs et surtout ce poids que les enfants doivent parfois porter sans même que les adultes s'en rendent compte, cette culpabilité constante de l'enfant idéal et ces excuses que l'on offre à ses parents imparfaits mais que l'on aime par dessus tout.
L'écriture est fine et poétique, je n'en attendais bien sûr pas moins de lui (#chouchou) mais j'ai dégusté chaque chapitre. D'abord, comme un roman back to the seventies, tout y est collector : les voitures, les musiques, les vêtements et bien sûr les gens : cette insouciance, cette liberté, ces premières découvertes, les congés payés, le camping sauvage…
Je n'ai pu m'empêcher de tirer des parallèles avec ma propre histoire : aussi éloignés et différents puissions-nous être, nous avons tous notre lot de malheurs et bonheurs et surtout ce poids que les enfants doivent parfois porter sans même que les adultes s'en rendent compte, cette culpabilité constante de l'enfant idéal et ces excuses que l'on offre à ses parents imparfaits mais que l'on aime par dessus tout.
