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Critique de Laparentheseimaginaire
J'ai lu des critiques contrastées sur le Prince des Fous de Mark Lawrence : certains l'ont aimé, d'autres pas du tout. Je fais partie de la première catégorie, puisque j'ai totalement adhéré à ce roman, à son humour, à ses personnages, et que je l'ai lu avec grand plaisir du début à la fin.
Ce que j'ai tant apprécié dans le premier tome de cette trilogie fantasy, c'est le personnage de Jalan, à travers les yeux de qui l'histoire est contée. Il est l'anti-thèse du héros parfait, et c'est justement ce qui rend ce roman jubilatoire. Lâche et vaniteux, Jalan est un jeune prince trop gâté qui partage ses journées entre les tavernes, les arènes de jeux et le lit de ses conquêtes. Mais il parle de lui avec un tel cynisme et une telle auto-dérision que ça en devient drôle. le ton du roman m'a beaucoup fait rire.
Jalan n'est pas non plus la coquille vide d'un prince oisif et débauché, son personnage est plus complexe que ça. Au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire, on se rend compte qu'il a aussi des qualités (bien enfouies !) et un potentiel épique. On sent qu'il peut évoluer, même si ce n'est pas gagné. Et on s'attache à lui malgré ses défauts épouvantables.
La petite vie superficielle de Jalan bascule le jour où il rencontre Snoori. Ce viking ténébreux et loyal, guerrier à la détermination d'acier, se révèle beaucoup plus subtil qu'il n'y parait. Il a vécu des choses difficiles (notons qu'il y a quelques passages bien sombres dans le roman) auxquelles Jalan va se retrouver indirectement lié.
Leurs destins s'imbriquent, et les voilà propulsés dans une aventure tumultueuse. Dans le Prince des Fous, il y a un grand voyage, des vikings, des sortilèges et des expirés qui reviennent à la vie. Des ténèbres et de la lumière, qui s'opposent autant qu'elles se complètent.
J'ai jubilé en voyant Jalan quitter son palais douillet pour la rudesse des routes, tremblé en découvrant les cruelles épreuves traversées par Snoori, et été émue par la relation qui se tisse tant bien que mal entre ces deux héros si différents.
Quant à la fin, elle m'a donné envie de me ruer sur la suite !
Lien : http://www.laparentheseimagi..
Ce que j'ai tant apprécié dans le premier tome de cette trilogie fantasy, c'est le personnage de Jalan, à travers les yeux de qui l'histoire est contée. Il est l'anti-thèse du héros parfait, et c'est justement ce qui rend ce roman jubilatoire. Lâche et vaniteux, Jalan est un jeune prince trop gâté qui partage ses journées entre les tavernes, les arènes de jeux et le lit de ses conquêtes. Mais il parle de lui avec un tel cynisme et une telle auto-dérision que ça en devient drôle. le ton du roman m'a beaucoup fait rire.
Jalan n'est pas non plus la coquille vide d'un prince oisif et débauché, son personnage est plus complexe que ça. Au fur et à mesure que l'on avance dans l'histoire, on se rend compte qu'il a aussi des qualités (bien enfouies !) et un potentiel épique. On sent qu'il peut évoluer, même si ce n'est pas gagné. Et on s'attache à lui malgré ses défauts épouvantables.
La petite vie superficielle de Jalan bascule le jour où il rencontre Snoori. Ce viking ténébreux et loyal, guerrier à la détermination d'acier, se révèle beaucoup plus subtil qu'il n'y parait. Il a vécu des choses difficiles (notons qu'il y a quelques passages bien sombres dans le roman) auxquelles Jalan va se retrouver indirectement lié.
Leurs destins s'imbriquent, et les voilà propulsés dans une aventure tumultueuse. Dans le Prince des Fous, il y a un grand voyage, des vikings, des sortilèges et des expirés qui reviennent à la vie. Des ténèbres et de la lumière, qui s'opposent autant qu'elles se complètent.
J'ai jubilé en voyant Jalan quitter son palais douillet pour la rudesse des routes, tremblé en découvrant les cruelles épreuves traversées par Snoori, et été émue par la relation qui se tisse tant bien que mal entre ces deux héros si différents.
Quant à la fin, elle m'a donné envie de me ruer sur la suite !
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