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Critique de Swannblue
Un mauvais téléfilm. Que dis-je ! Un très mauvais téléfilm.
Voilà le sentiment qui m'habitait lorsque j'ai terminé ce livre (non sans un certain soulagement). Il faut préciser que je n'avais encore lu aucun Camilla Läckberg auparavant. Une auteure de polars mondialement connue et reconnue qui se lance dans le thriller érotique, le leasing avait de quoi plaire. Mais au final, quelle déception…
Notre star suédoise enchaîne les poncifs et les caricatures à un rythme trop soutenu pour moi. Son récit n'est pas du tout crédible. Je veux bien soutenir le courant féministe et autre #MeToo, mais encore faut-il demeurer plausible.
Faye, l'héroïne principale est responsable de deux crimes et d'une fausse accusation de meurtre (je ne peux pas en dire plus). Sera-t-elle inquiétée pour cela ? Pas le moins du monde. Même pas le moindre doute. Mais que fait la police… suédoise ?
Jack, son mari et futur ex, devient de plus en plus benêt au fil des pages. Comment un idiot pareil est-il parvenu à devenir multi-millionnaire à la tête de l'entreprise qu'il a montée ? Là encore, ce n'est pas crédible.
Revenons à Faye qui en trois ans, devient une reine de la cosmétique. En trois ans, en partant de rien et sans la moindre connaissance dans le domaine ! Sa seule idée de génie ? Appeler sa société "Revenge", revanche afin que toutes les femmes bafouées se reconnaissent et se ruent sur des crèmes et soins pour mieux résister à la cruauté des hommes. Comme je l'ai dit au début de ma critique : un téléfilm bas de gamme au scénario bâclé.
Bien évidemment dans ce roman, tous les hommes sont des salauds ou presque (vous n'en croiserez qu'un seul en mesure de sauver l'honneur. Ça fait peu) et les femmes sont à ranger en deux catégories : celles qui subissent en silence et les rares autres qui osent résister.
Je ne veux rien révéler de l'histoire (tant elle est simpliste) mais le final fait dans le grotesque : une incroyable caricature.
Et dire qu'on nous annonce déjà un tome 2. Je crains le pire.
Voilà le sentiment qui m'habitait lorsque j'ai terminé ce livre (non sans un certain soulagement). Il faut préciser que je n'avais encore lu aucun Camilla Läckberg auparavant. Une auteure de polars mondialement connue et reconnue qui se lance dans le thriller érotique, le leasing avait de quoi plaire. Mais au final, quelle déception…
Notre star suédoise enchaîne les poncifs et les caricatures à un rythme trop soutenu pour moi. Son récit n'est pas du tout crédible. Je veux bien soutenir le courant féministe et autre #MeToo, mais encore faut-il demeurer plausible.
Faye, l'héroïne principale est responsable de deux crimes et d'une fausse accusation de meurtre (je ne peux pas en dire plus). Sera-t-elle inquiétée pour cela ? Pas le moins du monde. Même pas le moindre doute. Mais que fait la police… suédoise ?
Jack, son mari et futur ex, devient de plus en plus benêt au fil des pages. Comment un idiot pareil est-il parvenu à devenir multi-millionnaire à la tête de l'entreprise qu'il a montée ? Là encore, ce n'est pas crédible.
Revenons à Faye qui en trois ans, devient une reine de la cosmétique. En trois ans, en partant de rien et sans la moindre connaissance dans le domaine ! Sa seule idée de génie ? Appeler sa société "Revenge", revanche afin que toutes les femmes bafouées se reconnaissent et se ruent sur des crèmes et soins pour mieux résister à la cruauté des hommes. Comme je l'ai dit au début de ma critique : un téléfilm bas de gamme au scénario bâclé.
Bien évidemment dans ce roman, tous les hommes sont des salauds ou presque (vous n'en croiserez qu'un seul en mesure de sauver l'honneur. Ça fait peu) et les femmes sont à ranger en deux catégories : celles qui subissent en silence et les rares autres qui osent résister.
Je ne veux rien révéler de l'histoire (tant elle est simpliste) mais le final fait dans le grotesque : une incroyable caricature.
Et dire qu'on nous annonce déjà un tome 2. Je crains le pire.
