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Critique de adlmarsault
Je me suis accrochée à cette série malgré plusieurs tomes décevants, mais au bout d'une centaine de page du "dompteur de lions", la coupe a été pleine et j'ai jeté le livre.
Les intrigues ont beaux être bien construites, le schéma narratif ne varie vraiment pas assez et j'ai l'impression de lire toujours de même livre. Trop prévisible, on peut survoler en diagonale des pages entières sans louper grand chose : on connaît.
Je trouve que les personnages sont trop caricaturés (chef incompétent, belle-mère insupportable et j'en passe...).
Au fil des tomes, une grande famille de bisounours se construit autour des principaux personnages et tout se mélange : enquêteurs, épouses, soeurs, chefs... tout le monde est gentil, tout le monde s'aime, tout le monde participe à l'enquête... au delà du manque de crédibilité, c'est franchement exaspérant !
De temps en temps un personnage (de seconde zone) meurt, dans un torrent de larmes, et ça rempli des pages. Quand ça n'est pas ça, c'est un épisode de la vie domestique palpitante d'Erica Falck qui pollue une centaine de page (après le mariage, les enfants et la crise de la quarantaine, je prend paris pour un divorce dans 3-4 tomes)
Bref, pour ma part j'arrête les frais avec cette série !
Les intrigues ont beaux être bien construites, le schéma narratif ne varie vraiment pas assez et j'ai l'impression de lire toujours de même livre. Trop prévisible, on peut survoler en diagonale des pages entières sans louper grand chose : on connaît.
Je trouve que les personnages sont trop caricaturés (chef incompétent, belle-mère insupportable et j'en passe...).
Au fil des tomes, une grande famille de bisounours se construit autour des principaux personnages et tout se mélange : enquêteurs, épouses, soeurs, chefs... tout le monde est gentil, tout le monde s'aime, tout le monde participe à l'enquête... au delà du manque de crédibilité, c'est franchement exaspérant !
De temps en temps un personnage (de seconde zone) meurt, dans un torrent de larmes, et ça rempli des pages. Quand ça n'est pas ça, c'est un épisode de la vie domestique palpitante d'Erica Falck qui pollue une centaine de page (après le mariage, les enfants et la crise de la quarantaine, je prend paris pour un divorce dans 3-4 tomes)
Bref, pour ma part j'arrête les frais avec cette série !
