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Critique de denisheudre
Marie-Louise le Gall n'était pas écrivaine, mais ce n'est pas pour autant qu'elle n'avait rien à raconter. Sa vie n'est pas un roman, et pourtant...
90 ans de vie, cela en fait des souvenirs ! Cela en fait un témoignage sur la vie quotidienne entre 1930 et aujourd'hui ! Des moments de peine et des moments de joie qui font de ce récit plus qu'une leçon de vie, une leçon de courage, une leçon de pardon, une leçon d'amour, une leçon d'optimisme.
Car Marie-Louise a su rester optimiste après avoir tout connu de la misère : la faim, la mendicité, l'absence d'instruction, le rejet de ses parents, la promiscuité familiale avec trois enfants à dormir tête-bèche dans le même lit, les privations liées à la guerre, le viol, un enfant illégitime à élever seule, l'envie d'en finir.
Puis la rencontre avec un homme bien, pauvre lui aussi, et toujours les privations à cause de salaires très faibles, la mort d'enfants en bas âge, la maladie, les accidents mortels. Mais le travail, toujours le travail pour garder la tête haute, et le goût des autres, l'empathie, toujours l'envie d'aider. Marie-Louise le Gall, une femme digne dans l'adversité.
Ce témoignage bouleversant nous interroge aussi sur nos valeurs, notre rapport à l'argent, notre attitude fasse à la pauvreté, notre bienveillance, la place de la femme trop longtemps bafouée.
Marie-Louise le Gall n'était pas écrivaine, mais Jérôme Lucas des éditions Récits a recueilli ses mots pour en faire un témoignage sur la condition féminine au 20ème siècle.
Pour commander ce livre :
https://www.vosrecits.com/catalogue-editions-recits/1-recits-et-romans-autobiographiques/encore-une-journee-de-gagnee-Le-Gall
90 ans de vie, cela en fait des souvenirs ! Cela en fait un témoignage sur la vie quotidienne entre 1930 et aujourd'hui ! Des moments de peine et des moments de joie qui font de ce récit plus qu'une leçon de vie, une leçon de courage, une leçon de pardon, une leçon d'amour, une leçon d'optimisme.
Car Marie-Louise a su rester optimiste après avoir tout connu de la misère : la faim, la mendicité, l'absence d'instruction, le rejet de ses parents, la promiscuité familiale avec trois enfants à dormir tête-bèche dans le même lit, les privations liées à la guerre, le viol, un enfant illégitime à élever seule, l'envie d'en finir.
Puis la rencontre avec un homme bien, pauvre lui aussi, et toujours les privations à cause de salaires très faibles, la mort d'enfants en bas âge, la maladie, les accidents mortels. Mais le travail, toujours le travail pour garder la tête haute, et le goût des autres, l'empathie, toujours l'envie d'aider. Marie-Louise le Gall, une femme digne dans l'adversité.
Ce témoignage bouleversant nous interroge aussi sur nos valeurs, notre rapport à l'argent, notre attitude fasse à la pauvreté, notre bienveillance, la place de la femme trop longtemps bafouée.
Marie-Louise le Gall n'était pas écrivaine, mais Jérôme Lucas des éditions Récits a recueilli ses mots pour en faire un témoignage sur la condition féminine au 20ème siècle.
Pour commander ce livre :
https://www.vosrecits.com/catalogue-editions-recits/1-recits-et-romans-autobiographiques/encore-une-journee-de-gagnee-Le-Gall
