AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Henri-l-oiseleur


Le sujet, à l'image de la première de couverture, un Greco splendide, était fort beau. Il s'agissait d'imaginer, à partir de données historiques fragmentaires, la correspondance d'érudits théologiens du grand IV°s de Rome, qui vit naître une littérature patristique d'une grande qualité dans les deux langues, grecque et latine. le sous-titre, hélas (on n'est jamais assez attentif aux sous-titres) nous place en plein anachronisme, du même tabac que la série télévisée sur le christianisme de Prieur et Mordillat : en gros, l'évangile c'est bien, l'église c'est mal. On aura donc droit à la controverse, non de deux grands théologiens témoins de sac de Rome, mais d'un "intégriste" et d'un lecteur de Golias, et l'anachronisme va jusque dans le vocabulaire employé. Si le lecteur cherche à la fois un certain dépaysement dans un roman historique, et une forme d'instruction, il n'aura ni l'un ni l'autre.
Commenter  J’apprécie          42



Ont apprécié cette critique (3)voir plus




{* *}