AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de bina


Un grand Lupin qui m'a piégé au début. Partice Belval est blessé de guerre, il est en convalescence à Paris, soigné par une charmante infirmière, maman Coralie. Quand il surprend un complot visant à l'enlever, il intervient avec ses amis pour la sauver. Son intrépidité, sa rapidité d'esprit et d'analyse m'ont fait croire un instant que Lupin se cachait derrière Belval. Mais même si Lupin peut prendre de multiples identités, il ne peut pas cependant apparaitre avec une jambe en moins.
Son ami Ya-Bon (eh oui!! Maurice Leblanc est victime de son époque, cela se traduit par les discours patriotiques et l'influence de Banania sur son temps) fait appel à Lupin, et là, tout bascule.
En effet, à côté de lui, Patrice Belval semble devenir un légume intellectuel, et il ne peut plus aligner deux idées logiques comme dans la première partie du roman. Il tombe dans tous les pièges tandis par son adversaire. Tandis qu'évidemment Lupin a tout compris en deux minutes. le lecteur aussi (la permutation Essares / Siméon semble vite une évidence). Cette supériorité lupinesque (oui, je sais, c'est un néologisme, mais je trouve que cet adjectif lui va bien) m'énerve, mais je ne peux pas m'empêcher d'y revenir, rien que pour essayer de comprendre le fonctionnement de sa réflexion.
Commenter  J’apprécie          80



Ont apprécié cette critique (8)voir plus




{* *}