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Critique de amghost
Je ne suis pas sûr d'être la bonne personne pour donner un premier avis sur "Je suis en guerre" de Leeloo, aux éditions Baudelaire.
En dehors de ma zone de confort, encore une fois, deuxième livre que j'ai lu au mois de septembre, il s'agit d'un témoignage autobiographique : celui d'une jeune femme abusée dans son enfance par son oncle, incomprise - en particulier par son père - et rejetée par sa famille et qui tente en vain de se reconstruire après tout le mal qu'on lui a fait.
Âmes sensibles, s'abstenir.
Car comment nommer l'innomable, ce que les mots ne peuvent décrire ?
Leeloo par ce livre déclare un combat, contre ceux qui lui ont fait du mal , et qui malgré le fait que cette partie de sa vie soit passée, continue d'influencer négativement son présent et son futur, un combat contre l'indifférence des gens qui même aujourd'hui encore, lui font ressentir de la culpabilité alors qu'elle est bien la victime.
Du point de vue strictement littéraire, entre les chapitres, ces moments de vie, de réflexion, d'émotions éparpillées et parfois décousues, déposées sur les pages de ce livre, l'auteure cite très souvent Antigone d'Anouihl, une pièce de théâtre, une tragédie dont le personnage est une femme forte, marquée par le destin familial, tout comme elle-même.
Un petit moins pour moi, je suis un réfractaire à l'écriture inclusive utilisée, qui d'après moi enlaidit notre belle langue française dans une espèce de "novlangue" appauvrie, et ça a nuit à ma lecture, bien qu'ici c'est entièrement subjectif et uniquement mon avis personnel.
Pour finir, j'espère que l'auteure brisée qui a écrit cet ouvrage court mais intense, réussira un jour à réaliser cette catharsis tant souhaitée et à revoir la lumière un jour.
Quant à moi, cela ne fait que confirmer une réflexion que je m'étais faite moi-même: le viol est un acte à bien des égards plus répréhensible que le meurtre, car les souffrances, les tortures psychologiques que la victime s'impose elle-même l'accompagnent toute sa vie et c'est cela qui est absolument ignoble.
En dehors de ma zone de confort, encore une fois, deuxième livre que j'ai lu au mois de septembre, il s'agit d'un témoignage autobiographique : celui d'une jeune femme abusée dans son enfance par son oncle, incomprise - en particulier par son père - et rejetée par sa famille et qui tente en vain de se reconstruire après tout le mal qu'on lui a fait.
Âmes sensibles, s'abstenir.
Car comment nommer l'innomable, ce que les mots ne peuvent décrire ?
Leeloo par ce livre déclare un combat, contre ceux qui lui ont fait du mal , et qui malgré le fait que cette partie de sa vie soit passée, continue d'influencer négativement son présent et son futur, un combat contre l'indifférence des gens qui même aujourd'hui encore, lui font ressentir de la culpabilité alors qu'elle est bien la victime.
Du point de vue strictement littéraire, entre les chapitres, ces moments de vie, de réflexion, d'émotions éparpillées et parfois décousues, déposées sur les pages de ce livre, l'auteure cite très souvent Antigone d'Anouihl, une pièce de théâtre, une tragédie dont le personnage est une femme forte, marquée par le destin familial, tout comme elle-même.
Un petit moins pour moi, je suis un réfractaire à l'écriture inclusive utilisée, qui d'après moi enlaidit notre belle langue française dans une espèce de "novlangue" appauvrie, et ça a nuit à ma lecture, bien qu'ici c'est entièrement subjectif et uniquement mon avis personnel.
Pour finir, j'espère que l'auteure brisée qui a écrit cet ouvrage court mais intense, réussira un jour à réaliser cette catharsis tant souhaitée et à revoir la lumière un jour.
Quant à moi, cela ne fait que confirmer une réflexion que je m'étais faite moi-même: le viol est un acte à bien des égards plus répréhensible que le meurtre, car les souffrances, les tortures psychologiques que la victime s'impose elle-même l'accompagnent toute sa vie et c'est cela qui est absolument ignoble.
