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Critique de prune42
Adrien Venel, qui est analyste statisticien, est seul depuis que sa petite amie Cassandra l'a quitté. Il a du mal à se remettre de cette rupture. C'est alors qu'il apprend par son ami médecin Darshan qu'il est atteint par le syndrome d'Emerson et qu'il ne lui reste plus longtemps à vivre alors que lui-même ne s'est jamais senti malade. Il va alors reconsidérer sa vie sous un nouvel angle et voir les choses différemment que ce soit professionnellement, amicalement ou même sentimentalement. Il va faire de nouvelles rencontres, redécouvrir certaines personnes qu'il croyait pourtant connaître, faire la paix avec son passé, aider ses amis proches. Cette épreuve le métamorphose véritablement.
J'étais curieuse de découvrir le dernier roman de Gilles Legardinier dont j'entendais beaucoup parler autour de moi en positif et dont la couverture avec ce ration laveur sympathique m'avait tapé dans l'oeil. Pour avoir lu d'autres romans de cet auteur, je sais qu'il écrit des romans divertissants et légers et je m'attendais à ce genre de livres.
Je n'ai malheureusement pas été convaincue cette fois, il est vrai que j'ai mis longtemps à lire ce roman et je perdais un peu le fil à chaque fois mais aussi le thème de la maladie, qui amène le personnage principal à remettre en question sa vie et qui n'est pas évoqué dans la quatrième de couverture, ne m'a pas paru très original en soi. J'ai déjà lu d'autres romans sur ce thème et peut-être suis-je un peu lassée maintenant.
Les chapitres sont courts mais on saute un peu du coq à l'âne à chaque chapitre, c'est au début un peu déstabilisant.
Le livre est léger et facile à lire, les aventures du personnage rocambolesques et amusantes, pleines d'imagination mais je n'ai pas accroché tant que ça.
Et puis cette maladie mystérieuse qui ne se manifeste quasiment jamais me paraît un peu étrange et difficilement crédible.
Malgré les intentions louables de l'auteur qui s'exprime dans sa postface et manifeste beaucoup de sympathie à l'égard de son lectorat, je n'ai pas tellement accroché à ce roman et je n'en garderai pas un souvenir durable.
J'étais curieuse de découvrir le dernier roman de Gilles Legardinier dont j'entendais beaucoup parler autour de moi en positif et dont la couverture avec ce ration laveur sympathique m'avait tapé dans l'oeil. Pour avoir lu d'autres romans de cet auteur, je sais qu'il écrit des romans divertissants et légers et je m'attendais à ce genre de livres.
Je n'ai malheureusement pas été convaincue cette fois, il est vrai que j'ai mis longtemps à lire ce roman et je perdais un peu le fil à chaque fois mais aussi le thème de la maladie, qui amène le personnage principal à remettre en question sa vie et qui n'est pas évoqué dans la quatrième de couverture, ne m'a pas paru très original en soi. J'ai déjà lu d'autres romans sur ce thème et peut-être suis-je un peu lassée maintenant.
Les chapitres sont courts mais on saute un peu du coq à l'âne à chaque chapitre, c'est au début un peu déstabilisant.
Le livre est léger et facile à lire, les aventures du personnage rocambolesques et amusantes, pleines d'imagination mais je n'ai pas accroché tant que ça.
Et puis cette maladie mystérieuse qui ne se manifeste quasiment jamais me paraît un peu étrange et difficilement crédible.
Malgré les intentions louables de l'auteur qui s'exprime dans sa postface et manifeste beaucoup de sympathie à l'égard de son lectorat, je n'ai pas tellement accroché à ce roman et je n'en garderai pas un souvenir durable.
