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Critique de Natalivre
C'est le deuxième livre de Gilles Legardinier que je lis, le premier étant "Ça peut pas rater". Comme celui-ci m'avait laissé un bon souvenir, j'en ai tenté un second.
Certains classent ce roman dans les feel good. Je me méfie un peu de ce genre qui n'est pas ma lecture de prédilection. Mais pourquoi pas un de temps en temps, à dose homéopathique.
Dans cette histoire, Adrien apprend qu'il est atteint d'un syndrome rare qui risque de ne pas lui laisser trop de temps pour profiter de la vie. Alors forcément, ça chamboule un chouïa sa façon de voir les choses, ce qui peut tout à fait se comprendre. Et bien sur, les priorités changent. le travail devient secondaire, on veut revoir les personnes qui ont compté, etc... etc...
Ça dégouline de bons sentiments, de mièvrerie, beaucoup de situations sont invraisemblables ou très peu crédibles et le moins que l'on puisse dire c'est que l'auteur ne fait pas dans la finesse. Bref, je pense que vous aurez compris que je n'ai pas adhéré à cette histoire, enfin plutôt à la façon dont elle est traitée, car elle aurait pu me plaire si elle avait été abordée sous un angle plus sobre, avec plus de profondeur et des personnages plus étoffés.
Je pense avoir mon quota de feel good pour cette année et vais retourner à mes polars et romans noirs.
Certains classent ce roman dans les feel good. Je me méfie un peu de ce genre qui n'est pas ma lecture de prédilection. Mais pourquoi pas un de temps en temps, à dose homéopathique.
Dans cette histoire, Adrien apprend qu'il est atteint d'un syndrome rare qui risque de ne pas lui laisser trop de temps pour profiter de la vie. Alors forcément, ça chamboule un chouïa sa façon de voir les choses, ce qui peut tout à fait se comprendre. Et bien sur, les priorités changent. le travail devient secondaire, on veut revoir les personnes qui ont compté, etc... etc...
Ça dégouline de bons sentiments, de mièvrerie, beaucoup de situations sont invraisemblables ou très peu crédibles et le moins que l'on puisse dire c'est que l'auteur ne fait pas dans la finesse. Bref, je pense que vous aurez compris que je n'ai pas adhéré à cette histoire, enfin plutôt à la façon dont elle est traitée, car elle aurait pu me plaire si elle avait été abordée sous un angle plus sobre, avec plus de profondeur et des personnages plus étoffés.
Je pense avoir mon quota de feel good pour cette année et vais retourner à mes polars et romans noirs.
