La crainte de Dieu serait le remède spécifique contre la vanité.
Personnellement je n'adhère pas à cette politique. Voici ce qu'on a :
- La vie réduite à une litanie de souffrances
- Un responsable : l'homme lui-même, sa vanité
- Une solution : un prince, un calife, régnant par la crainte.
On trouvera l'amour ailleurs dans la Bible, mais un Dieu qui inspire l'amour aussi bien que la crainte est encore un prince ou un calife.
La souffrance reste toujours un point de départ de questionnement et depuis l'antiquité les hommes méditent et trouvent des voies heureusement différentes.
La lecture de Bouddha invite à chercher l'aspiration en soi.
La lecture de Lao Tse invite à rester petit pour rester libre.
Etc..et c'est déjà bon signe lorsque ces différentes voies ne s'excluent pas en pratique.
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