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Critique de ecceom
L'Oracle au désespoir
Dans ce 2ème volume, le jeune calabrais poursuit son récit du périple qui l'a conduit de son petit village, à une retraite au mont Athos.
Giovanni est maintenant à Venise où il se fait passer pour un noble astrologue en utilisant le savoir accumulé auprès de son maître. Il va enfin revoir Elena et en oublie un peu le courrier urgent qu'il doit délivrer.
Surtout que l'autre volet de son éducation récente -la science des armes, va précipiter sa chute.
Aventures, rebondissements, initiation spirituelle, les thèmes se mêlent agréablement.
Faire évoluer son héros à Venise, est du pain bénit pour Griffo, qui doit lui rappeler les bons moments de son "Giacomo C". Son dessin possède toujours autant de grâce en dépit de certaines maladresses au niveau des visages. Certaines vignettes sont vraiment superbes et le découpage de Rodolphe est remarquable de dynamisme. La mise en couleurs est à souligner, même si tout comme dans le tome 1, Griffo semble avoir du mal à nous proposer des cieux vraiment bleus (y compris pour ses paysages grecs).
Un deuxième volume qui se termine par un coup de théâtre nietzschéen et qui donne vraiment envie de voir la suite.
Dans ce 2ème volume, le jeune calabrais poursuit son récit du périple qui l'a conduit de son petit village, à une retraite au mont Athos.
Giovanni est maintenant à Venise où il se fait passer pour un noble astrologue en utilisant le savoir accumulé auprès de son maître. Il va enfin revoir Elena et en oublie un peu le courrier urgent qu'il doit délivrer.
Surtout que l'autre volet de son éducation récente -la science des armes, va précipiter sa chute.
Aventures, rebondissements, initiation spirituelle, les thèmes se mêlent agréablement.
Faire évoluer son héros à Venise, est du pain bénit pour Griffo, qui doit lui rappeler les bons moments de son "Giacomo C". Son dessin possède toujours autant de grâce en dépit de certaines maladresses au niveau des visages. Certaines vignettes sont vraiment superbes et le découpage de Rodolphe est remarquable de dynamisme. La mise en couleurs est à souligner, même si tout comme dans le tome 1, Griffo semble avoir du mal à nous proposer des cieux vraiment bleus (y compris pour ses paysages grecs).
Un deuxième volume qui se termine par un coup de théâtre nietzschéen et qui donne vraiment envie de voir la suite.
