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Critique de Olivier74
Sixième roman mettant en scène le commissaire Brunetti dont je lis la série par ordre chronologique, lorsque j'ai envie d'une lecture plus « contemporaine » qu'à l'habitude. J'aime me promener dans les rue de la Sérénissime Venise en compagnie du commissaire, de sa famille, de ses collègues.
Dans ce roman, Donna Leon met le doigt sur de nouveaux travers de l'humanité et s'attaque ici à l'Eglise et certains de ses tourments : ramifications des congrégations, milieux catholiques corrompus où règnent l'argent et le pouvoir, éducation religieuse, prêtres qui abusent de leur pouvoir ; tout ceci dans le cadre de maisons de retraite et de l'accompagnement peu philanthropique des personnes âgées.
La vie familiale simple et chaleureuse de Brunetti, ses rapports avec ses collègues à la questure, les descriptions de Venise permettent de passer un bon moment malgré le rythme toujours lent, ce qui finalement permet de s'attarder un peu…
Dans ce roman, Donna Leon met le doigt sur de nouveaux travers de l'humanité et s'attaque ici à l'Eglise et certains de ses tourments : ramifications des congrégations, milieux catholiques corrompus où règnent l'argent et le pouvoir, éducation religieuse, prêtres qui abusent de leur pouvoir ; tout ceci dans le cadre de maisons de retraite et de l'accompagnement peu philanthropique des personnes âgées.
La vie familiale simple et chaleureuse de Brunetti, ses rapports avec ses collègues à la questure, les descriptions de Venise permettent de passer un bon moment malgré le rythme toujours lent, ce qui finalement permet de s'attarder un peu…
