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Critique de Mimimelie
C'est à l'occasion de ma lecture de Delacroix et les femmes de Raymond Escholier, que j'ai découvert chez Delacroix une vraie passion pour les fleurs ; désireuse d'en savoir plus j'ai découvert cet ouvrage qui nous précise même en quatrième de couv. « Ainsi, contre toute attente, au lendemain de la révolution de 1848, Delacroix pensa consacrer exclusivement à ce thème ses livraisons au Salon ». Si ce n'est pas de la passion !
« J'ai montré ce qui séparait Eugène Delacroix de sa cousine … mais il était entre eux des affinités électives que rien ne pouvait compromettre, et entre toutes l'amour des fleurs et la passion de la musique.
Les fleurs ! Si nous en croyons le témoignage de George Sand, c'est à Nohant que Delacroix commença ses premières études de fleurs, ces fleurs qui enchanteront son âge mûr et sa vieillesse. Déjà le maître les étudie, les analyse avec une minutie que seuls pratiquèrent les grands artistes japonais… » (Delacroix et les femmes)
« J'ai montré ce qui séparait Eugène Delacroix de sa cousine … mais il était entre eux des affinités électives que rien ne pouvait compromettre, et entre toutes l'amour des fleurs et la passion de la musique.
Les fleurs ! Si nous en croyons le témoignage de George Sand, c'est à Nohant que Delacroix commença ses premières études de fleurs, ces fleurs qui enchanteront son âge mûr et sa vieillesse. Déjà le maître les étudie, les analyse avec une minutie que seuls pratiquèrent les grands artistes japonais… » (Delacroix et les femmes)
