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Critique de LoupAlunettes
Ce n'est plus Noël, certe, mais vous l'avouerez, cet album pourrait être encore pour ces vacances d'hiver de saison. Il y aura de la neige.
A propos de vacances. Quelqu'un s'est-il posé la simple question des vacances d'un Père Noël?
Tout le reste de l'année, sauf Décembre, me diriez-vous.
Mais se repose t-il seulement.
C'est que ça se prépare ce Noël, tout de même, les parents...enfin, le Père Noël, voulait-on dire, en sait quelque chose.
Enfin bref, Robert ne sera pas de trop dans l'affaire pour lui accorder un peu de repos.
Lui a t-on dit à Robert, que la retraite d'un Père Noël est un congé longue durée?
Fort heureusement, lorsque la voiture De Robert échoua non loin, il put s'échapper..repartir, voulait-on dire, sans problème. C'était juste un problème de durite constata un lutin, le Père Noël déçu statuait sur le carburateur.
Robert est publicitaire, un furieux du travail et dans l'humeur quotidienne.
Pourtant, les lutins sont persuadés d'avoir trouvé le bon, ainsi n'en aura t-il pas fini avec eux, après quelques mesures prises discrètement au boulot et dans la voiture, vous savez, pour le costume.
Didier Levy aurait pu se contenter de rester sur cette ligne pour nous amuser mais est-ce vraiment ce qu'il avait envie de raconter.
Le reste de ce roman illustré, en format à l'italienne, démontre que non.
C'est la vie De Robert, ses priorités de vie qui sont en jeu, donnant corps et âme à son travail et à ses ambitions professionnelles.
Le lutin Django, invisible, ne le lâche pas d'une semelle, agissant comme une bonne conscience, un ange gardien, fier de sa témérité professionnelle, mais triste devant ses engagements familiaux non tenus. Un vrai papa.
Et l'humour revient, nous le voyons se transformer, physiquement aussi.
Une origine très sympa, à la moralité précieuse, celle de profiter judicieusement des êtres qui nous sont chers.
Une moralité qui colle à l'esprit de Noël, me diriez-vous. Et vous avez raison.
A propos de vacances. Quelqu'un s'est-il posé la simple question des vacances d'un Père Noël?
Tout le reste de l'année, sauf Décembre, me diriez-vous.
Mais se repose t-il seulement.
C'est que ça se prépare ce Noël, tout de même, les parents...enfin, le Père Noël, voulait-on dire, en sait quelque chose.
Enfin bref, Robert ne sera pas de trop dans l'affaire pour lui accorder un peu de repos.
Lui a t-on dit à Robert, que la retraite d'un Père Noël est un congé longue durée?
Fort heureusement, lorsque la voiture De Robert échoua non loin, il put s'échapper..repartir, voulait-on dire, sans problème. C'était juste un problème de durite constata un lutin, le Père Noël déçu statuait sur le carburateur.
Robert est publicitaire, un furieux du travail et dans l'humeur quotidienne.
Pourtant, les lutins sont persuadés d'avoir trouvé le bon, ainsi n'en aura t-il pas fini avec eux, après quelques mesures prises discrètement au boulot et dans la voiture, vous savez, pour le costume.
Didier Levy aurait pu se contenter de rester sur cette ligne pour nous amuser mais est-ce vraiment ce qu'il avait envie de raconter.
Le reste de ce roman illustré, en format à l'italienne, démontre que non.
C'est la vie De Robert, ses priorités de vie qui sont en jeu, donnant corps et âme à son travail et à ses ambitions professionnelles.
Le lutin Django, invisible, ne le lâche pas d'une semelle, agissant comme une bonne conscience, un ange gardien, fier de sa témérité professionnelle, mais triste devant ses engagements familiaux non tenus. Un vrai papa.
Et l'humour revient, nous le voyons se transformer, physiquement aussi.
Une origine très sympa, à la moralité précieuse, celle de profiter judicieusement des êtres qui nous sont chers.
Une moralité qui colle à l'esprit de Noël, me diriez-vous. Et vous avez raison.
