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Critique de diamelee
L'Afrique des mystères. Connue seulement des initiés. Une Afrique de violence. Des êtres modelés par la colère. Par la violence. Par une douloureuse résilience en cours. Telle est l'histoire de ce premier tome. Certaines personnes sont porteurs d'un lourd secret. Un secret qui leur a coûté la vie. Dans un village. Loin de tout. L'humain connaît-il toutes les richesses qu'il a en lui? Pourra t-il, un jour, assouvir toutes ses envies qui s'éloignent de lui, au fur et à mesure qu'il s'en approche? James, Rose et les autres vont apprendre à se connaître face aux épreuves qui les attendent. Face aux douleurs qui seront les leurs. Face aux ancêtres qu'ils rencontreront, peut-être, selon le bon vouloir des prophétesses. Que de mystère…
Un matériau rare a été découvert : le phoskantium. Il est convoité par des sociétés secrètes. Par les grandes compagnies occidentales. Par des mercenaires. Malgré lui, James est embarqué dans l'aventure. En tant que détective, il a été embauché par Laura, une jeune femme riche. Quel rôle devra-t-il jouer? Jusqu'où est-il prêt à aller? Nous assistons à une course-poursuite à laquelle les humains, les mânes des ancêtres, les services secrets et l'armée participent, presque malgré eux. Les mots sont forts, durs. Ce sont ceux de la guerre, de la violence extrême, du désespoir. L'auteure nous transporte dans une Afrique que beaucoup ignorent. Nous évoluons dans un monde où rien ne ressemble à ce qu'il paraît. Les intrigues, les assassinats, les tortures sont légion. Cependant, les mots, terriblement simples, choisis par l'auteure, permettent au lecteur de ne pas avoir de haut-le-coeur.
La cupidité humaine est bien relatée dans ce roman. Les personnages se perdent dans leurs souillures et ne pensent qu'à acquérir l'objet de leur désir. Peu importe le nombre de morts. L'auteure nous enivre de son histoire. D'une plume lourde de consciences difficilement assimilables, elle nous fait entrer dans le monde du sacré, de la terreur, de la violence. Jusqu'où sont prêt à aller les personnages pour repartir vivants avec l'objet de leur désir? Face à la force des ancêtres, se trouve la force des armées. Qui gagnera ce combat? Que deviendront nos héros? Arriveront ils à se débarrasser de ces hommes semeurs de mort? L'aventure continue pour le héros. Que les esprits de la forêt les protègent.
Un matériau rare a été découvert : le phoskantium. Il est convoité par des sociétés secrètes. Par les grandes compagnies occidentales. Par des mercenaires. Malgré lui, James est embarqué dans l'aventure. En tant que détective, il a été embauché par Laura, une jeune femme riche. Quel rôle devra-t-il jouer? Jusqu'où est-il prêt à aller? Nous assistons à une course-poursuite à laquelle les humains, les mânes des ancêtres, les services secrets et l'armée participent, presque malgré eux. Les mots sont forts, durs. Ce sont ceux de la guerre, de la violence extrême, du désespoir. L'auteure nous transporte dans une Afrique que beaucoup ignorent. Nous évoluons dans un monde où rien ne ressemble à ce qu'il paraît. Les intrigues, les assassinats, les tortures sont légion. Cependant, les mots, terriblement simples, choisis par l'auteure, permettent au lecteur de ne pas avoir de haut-le-coeur.
La cupidité humaine est bien relatée dans ce roman. Les personnages se perdent dans leurs souillures et ne pensent qu'à acquérir l'objet de leur désir. Peu importe le nombre de morts. L'auteure nous enivre de son histoire. D'une plume lourde de consciences difficilement assimilables, elle nous fait entrer dans le monde du sacré, de la terreur, de la violence. Jusqu'où sont prêt à aller les personnages pour repartir vivants avec l'objet de leur désir? Face à la force des ancêtres, se trouve la force des armées. Qui gagnera ce combat? Que deviendront nos héros? Arriveront ils à se débarrasser de ces hommes semeurs de mort? L'aventure continue pour le héros. Que les esprits de la forêt les protègent.
