J'ai retrouvé avec grand plaisir Gabriel Joly dans ce troisième tome, bien que mal en point en début d'histoire, suite aux évènements du second. C'est sans compter l'amitié de Récif et de Théroigne de Méricourt qui lui feront relever la tête.
C'est plus intimiste, presque un huis clos dans ce théâtre de la
Comédie-Française, mais pas que. Ça va se passer sur des toits aussi.
Et pendant que les députés bataillent à rédiger la Déclaration des droits de l'homme, le commissaire Guyot et notre héros, vont enquêter pour élucider les meurtres commis dans ce lieu. Je me suis crue par moment dans un
Agatha Christie ou un
Gaston Leroux, mais avec la verve des romans d'aventures.
J'ai eu du mal à lâcher ce tome très prenant, où
le loup des Cordeliers reprend du service également.
J'ai aussi souri à deux personnages secondaires, un inspecteur et le régisseur, facétieux auteurs de polars, potes dans la vie...
Bref, très très bon moment de lecture !
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