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Critique de HORUSFONCK


Voilà-t-y le tome 9 et la fin de Magasin général!?
Mais quelle apothéose, criss de tabernouche!
Marie est en famille, et son ventre s'arrondit de plus en plus... On sait point qui est le père, mais ce n'est pas grave.
Y'a toujours pas d' maire, et beaucoup moins de curé, icitte, à Notre-Dame des lacs, mais ça dérange moins sinon pas du tout!
Réjean va regrouper les confessions, dont celles de Rosa, Albertine et Jeannette, les trois belles - soeurs bigotes... le pauvre vieilles avouent le péché de gourmandise. Elles aussi auront droit aux belles robes, comme toutes les femmes qui accueilleront les hommes retour du bucheronnage.
Ah, quelle fête et quelle belle surprise!
Et pour point salir ces belles chaussures et ces beaux atours, les hommes installeront...des trottoirs! La fête, je vous dis.
Serge et Réjean vont faire une escapade à Montréal, au prétexte de rencontrer l'évêque... Hum! Ils faut qu'ils ramènent, dans le plus grand secret, le perroquet qui sera le compagnon du Capitaine Noël ("Bonjourrrr captain!"). Perroquet mordeur de doigts, bien entendu!
Et puis, le même jour, il y aura le baptême suivi de l'incendie du bateau de Noël... Et la naissance simultanée des tit-culs de Marie. qui est le père? ce e sera Serge, vous inquiétez pas, les frères Latulipe.
Voilà, la saga s'achève, la chronique se termine...
Déjà?
Ah ben non!
Messieurs Tripp et loisel nous offrent en bonus, presque comme postface de cette merveilleuse série en Québec, un album de photos prises par Jacinthe avec le Zeiss-Icon que lui a donné Philomène. Ce sont les images qui racontent, en noir, gris et blanc, la vie à Notre-Dame du Lac jusqu'à cette année 1936 quand arrive l'électricité au village!
Et puis voilà.
Horusfonck a fermé l'opus 9 de Magasin général auquel il reviendra rendre visite pus târd... Quand le souvenir des personnages s'estompera et qu'il voudra les retrouver tous.
Mille mercis, encore, à Loisel et Tripp, lapierre le coloriste et Jimmy Beaulieu qui a adapté les dialogues en québecois.
Et puis, merci aussi à Casterman l'éditeur historique des Tintins-mais-pas-que-la-preuve...
Un Petit bonheur, de Félix Leclerc, pour clore. Sympa et approprié, non?
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