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Critique de fredho
12 nouvelles de Jack London choisies et présentées par Francis Lacassin sous le titre « les condamnés à vivre ».
Marginalisés, résignés, écorchés, aliénés et isolés, ces anonymes présentés par London nous plongent dans la misère humaine où l'homme ne croit plus en la vie. Condamnés à vivre, sans lueur d'espoir d'échapper à leur condition, « ces sinistrés de la vie endurent leur existence comme une longue maladie dont la guérison s'appelle la mort ».
Comme dans « le peuple d'en bas », Jack London nous heurte en nous exposant ces sinistrés de la vie que la société a mis à l'écart afin de mieux les ignorer, à cela l'auteur rajoute une pointe d'humour noir ce qui rend un peu plus obscur le récit de ces victimes.
Très différent des héros du Grand Nord, Jack London nous transporte cette fois-ci dans un univers inverse où ses personnages ne sont pas héroïques mais seulement des condamnés à vivre, frappés par un destin souvent voué à l'échec.
Marginalisés, résignés, écorchés, aliénés et isolés, ces anonymes présentés par London nous plongent dans la misère humaine où l'homme ne croit plus en la vie. Condamnés à vivre, sans lueur d'espoir d'échapper à leur condition, « ces sinistrés de la vie endurent leur existence comme une longue maladie dont la guérison s'appelle la mort ».
Comme dans « le peuple d'en bas », Jack London nous heurte en nous exposant ces sinistrés de la vie que la société a mis à l'écart afin de mieux les ignorer, à cela l'auteur rajoute une pointe d'humour noir ce qui rend un peu plus obscur le récit de ces victimes.
Très différent des héros du Grand Nord, Jack London nous transporte cette fois-ci dans un univers inverse où ses personnages ne sont pas héroïques mais seulement des condamnés à vivre, frappés par un destin souvent voué à l'échec.
