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Critique de Masa
Brian Lumley connu pour sa saga « Nécroscope », qui ne sera jamais entièrement traduite dans notre langue, axée Horreur et Fantastique a aussi écrit des romans de Fantasy. C'est vrai que le merveilleux n'a jamais été mon fort, mais c'est par pur hasard que je suis tombé sur le premier tome « La Terre des rêves », intitulé « Le Héros des rêves », un livre très court.
Ce premier tome pourrait se résumer en trois phases : un début convaincant, une fin qui m'a dérangé (avec un épilogue qui sème la confusion) et l'entre-deux intéressant. J'aurais pourtant mis du temps à le lire, non parce qu'il n'était pas captivant, loin de là, mais pour des raisons personnelles qui m'ont bien asséché mon réservoir de temps libre.
L'auteur s'est focalisé sur le monde des rêves (Fantasy) pour ignorer le monde réel, puisque pour notre univers à nous, un seul chapitre lui est consacré. Je ne sais pas si c'est une bonne chose, mais quelque part ça a permis entre autre une liaison entre chaque aventure, même si je suis un peu frustré de ne pas suivre les deux personnages centraux autre part que dans les songes.
Tout commence donc dans les plaines enneigées où David Héro vole au secours de Eldin. Dès lors nos deux compères deviendront inséparables et seront confrontés à une quête mêlant plusieurs aventures.
Mon expérience en tant que joueur de jeux de rôle sur ordinateur et console, m'ont permis de discerner quelques clichés du genre. Tout d'abord, c'est dans une taverne emplie d'ivrognes que nos deux acolytes vont récupérer leur mission auprès d'un certain Borak. Celui-ci aurait rencontré un mage auquel il lui faudrait récupérer son bâton magique. Et où se trouve son artefact ? Je vous le donne dans le mille, au plein coeur d'une montagne. Si c'est pas du cliché, ça !
On arrive à ce que je n'aime pas dans les romans Fantasy : les noms. Qu'ils soient pour nommer les villes où les personnages, j'ai toujours détesté lire des trucs du genre “Klarek-Yam“, “Hitra“ ou bien encore “Nyhlar“.
Ce roman est à la fois simple et complexe. On y suit donc les aventures, mais aussi, par moments, l'histoire du monde des rêves. Il est appréciable que le récit soit riche en action et parsemé d'humour. Bref, un bon moment de lecture. Je suis néophyte en termes de littératures Fantasy (tous les dérivés) et donc ne peux porter un jugement aussi détailler que les spécialistes tels que Alfaric, Saiwhisper ou bien encore Witchblade.
Un premier tome sympathique à lire. Si j'ai la chance de pouvoir trouver les deux opus suivants, je les lirai avec plaisir. À noter que cette trilogie a été édité également en intégrale : « Légendes des contrées du rêve : intégrale ».
J'ai oublié de mentionner l'amour de l'auteur pour Howard Phillips Lovecraft et son mythique Cthulhu. Dans cet ouvrage, il en fait mention à plusieurs reprises.
Ce premier tome pourrait se résumer en trois phases : un début convaincant, une fin qui m'a dérangé (avec un épilogue qui sème la confusion) et l'entre-deux intéressant. J'aurais pourtant mis du temps à le lire, non parce qu'il n'était pas captivant, loin de là, mais pour des raisons personnelles qui m'ont bien asséché mon réservoir de temps libre.
L'auteur s'est focalisé sur le monde des rêves (Fantasy) pour ignorer le monde réel, puisque pour notre univers à nous, un seul chapitre lui est consacré. Je ne sais pas si c'est une bonne chose, mais quelque part ça a permis entre autre une liaison entre chaque aventure, même si je suis un peu frustré de ne pas suivre les deux personnages centraux autre part que dans les songes.
Tout commence donc dans les plaines enneigées où David Héro vole au secours de Eldin. Dès lors nos deux compères deviendront inséparables et seront confrontés à une quête mêlant plusieurs aventures.
Mon expérience en tant que joueur de jeux de rôle sur ordinateur et console, m'ont permis de discerner quelques clichés du genre. Tout d'abord, c'est dans une taverne emplie d'ivrognes que nos deux acolytes vont récupérer leur mission auprès d'un certain Borak. Celui-ci aurait rencontré un mage auquel il lui faudrait récupérer son bâton magique. Et où se trouve son artefact ? Je vous le donne dans le mille, au plein coeur d'une montagne. Si c'est pas du cliché, ça !
On arrive à ce que je n'aime pas dans les romans Fantasy : les noms. Qu'ils soient pour nommer les villes où les personnages, j'ai toujours détesté lire des trucs du genre “Klarek-Yam“, “Hitra“ ou bien encore “Nyhlar“.
Ce roman est à la fois simple et complexe. On y suit donc les aventures, mais aussi, par moments, l'histoire du monde des rêves. Il est appréciable que le récit soit riche en action et parsemé d'humour. Bref, un bon moment de lecture. Je suis néophyte en termes de littératures Fantasy (tous les dérivés) et donc ne peux porter un jugement aussi détailler que les spécialistes tels que Alfaric, Saiwhisper ou bien encore Witchblade.
Un premier tome sympathique à lire. Si j'ai la chance de pouvoir trouver les deux opus suivants, je les lirai avec plaisir. À noter que cette trilogie a été édité également en intégrale : « Légendes des contrées du rêve : intégrale ».
J'ai oublié de mentionner l'amour de l'auteur pour Howard Phillips Lovecraft et son mythique Cthulhu. Dans cet ouvrage, il en fait mention à plusieurs reprises.
