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Critique de svecs
Le titre original, The fall, joue sur la double signification du mot anglais: l'automne et la chute.
Kirk, un pompiste paumé, est victime d'un chantage un peu particulier. June, la femme de son patron, l'oblige à s'occuper de divers travaux dans sa maison. Alors qu'il s'apprête à remettre en état une partie de jardin laissé à l'abandon, il découvre un sac à main enterré. Il appartenait à une certaine Emily Keating. Kirk décide de la retrouver, mais l'entreprise se révèle moins facile que prévu.
Polar classique mais bien ficelé, cette "chute" bénéficie du trait précis de Jason Lutes. Sous des airs simplistes, il se révèle pourtant capable de traduire la subtilité des relations qui se tissent au fur et à mesure que l'intrigue se déploye. le dernier acte est sans doute un peu convenu mais d'ans l'ensemble, il s'agit d'un livre réussi.
Kirk, un pompiste paumé, est victime d'un chantage un peu particulier. June, la femme de son patron, l'oblige à s'occuper de divers travaux dans sa maison. Alors qu'il s'apprête à remettre en état une partie de jardin laissé à l'abandon, il découvre un sac à main enterré. Il appartenait à une certaine Emily Keating. Kirk décide de la retrouver, mais l'entreprise se révèle moins facile que prévu.
Polar classique mais bien ficelé, cette "chute" bénéficie du trait précis de Jason Lutes. Sous des airs simplistes, il se révèle pourtant capable de traduire la subtilité des relations qui se tissent au fur et à mesure que l'intrigue se déploye. le dernier acte est sans doute un peu convenu mais d'ans l'ensemble, il s'agit d'un livre réussi.
