Raymond Macherot excellait aussi dans les décors urbains.
Cette fois, Chlorophylle et Minimum ont quitté la riante campagne, pour la ville et ses dangers.
Lérot des champs, lérot des villes...
Je relis toujours cet album, avec un intérêt renouvellé et une nostalgie intacte.
Le scénario en est simple, bon enfant, mais toujours captivant.
Macherot aimait les animaux, et les dessinait à la perfection.
La couverture de l'album est splendide.
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