AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet
>

Critique de Unvola


Il s'agit de mon second commentaire de cet ouvrage réactualisé, avec l'aide de nouvelles archives et de récents témoignages inédits…

Jacobo Machover, Cubain d'origine, journaliste, écrivain et maître de conférences à l'université d'Avignon, nous présente à travers ce livre, la vie et surtout la terrifiante personnalité d'Ernesto Guevara dit le « Che », loin du cliché affligeant du mythe pour ignorants et/ou idéologues communistes forcenés !

Et pourtant…, François Hollande, alors Président de la République Française, en 2015, osait faire l'éloge du soi-disant « humanisme intégral » de Che Guevara.
En février 2016, ce même Président a organisé une réception à l'Élysée avec le dictateur Raul Castro (le frère du défunt Fidel), des chefs d'entreprise, des hommes politiques et des artistes dont Nathalie Cardone qui avait connu le succès en 1997, avec son titre : « Hasta siempre comandante », à la gloire du Che. Si l'ignorance ou la naïveté sont encore excusables à 30 ans, elles ne le sont plus à 50 ans. Cela devient de l'adhésion à une Idéologie Totalitaire.
Mais comme on vient de le voir, lorsque, même le Président de la République Française est capable de tenir de tels propos, alors tout devient possible…
Mais, malheureusement, ce n'est pas fini…, puisque, toujours en 2016, c'est l'ex-compagne de Hollande : Ségolène Royal alors ministre de l'Écologie, qui osa proférer des ignominies depuis Cuba, lors des funérailles de Fidel Castro en décembre 2016. En voici un florilège pitoyable :

– « C'est un monument de l'histoire, d'abord, Fidel Castro » et « c'est le symbole d'une amitié très profonde entre Cuba et la France » ;
– « Grâce à Fidel Castro, les Cubains ont récupéré leur territoire, leur vie, leur destin. Ils se sont inspirés de la Révolution française sans pour autant connaître la terreur qu'il y a eue pendant la Révolution française » ;
– Il existe « une liberté religieuse » et « une liberté de conscience » à Cuba ;
– « Il y a toujours du positif et du négatif dans les histoires, mais certains ne vont pas se rhabiller à bon compte au nom des droits de l'homme alors qu'on sait qu'ici, quand on demande des listes de prisonniers politiques, on n'en a pas. Et bien fournissez-moi des listes de prisonniers politiques, à ce moment-là on pourra faire quelque chose » (…) « Donc il faut savoir regarder les choses positivement même si ça dérange », estimant que « la France n'a pas à donner de leçon » à Cuba. « Je sais que ça dérange parce que justement voilà un pays insulaire qui protège son patrimoine, qui interdit les prédateurs, qui a réussi aussi à faire en sorte qu'il y ait une propreté, une sécurité vraiment remarquables, que l'on n'atteint pas dans beaucoup de pays qui donnent aujourd'hui des leçons de droits de l'Homme ».

Tous ces propos infâmes représentent une honte pour la Nation Française vis-à-vis du Peuple Cubain qui est martyrisé, persécuté, emprisonné arbitrairement, privé des plus élémentaires droits à la liberté d'expression et à manifester, déporté en camps de concentration, torturé, assassiné, par la Police Politique du régime Totalitaire Communiste Castriste ; et cela depuis maintenant 58 ans !

Le mythe du Che révolutionnaire, humaniste et salvateur est tout aussi ahurissant et absurde que celui de son ancêtre : le fondateur, avec Lénine, du Totalitarisme Communiste : Léon Trotski. Pourtant, la courte existence d'Ernesto Guevara démontre à quel point il fut un bourreau, et non un idéaliste humaniste.
Pour le Che, il s'agissait, comme dans tous les systèmes totalitaires, en l'occurrence ici : communiste, d'appliquer l'idéologie obligatoire par la Terreur de masse.

A présent, entrons dans le vif du sujet en donnant la parole au personnage principal de ce livre : le mégalomane Che, afin que, dès à présent, il se démystifie lui-même… (page 26) :

« (…) Je savais maintenant… je savais qu'au moment où le grand esprit directeur diviserait l'humanité en à peine deux fractions antagonistes, je serais du côté du peuple. Et je sais, car je le vois gravé dans la nuit, que moi, l'éclectique disséqueur de doctrines et le psychanalyste de dogmes, hurlant comme un possédé, je prendrai d'assaut les barricades ou les tranchées, je teindrai mon arme dans le sang et, fou furieux, j'égorgerai tous les vaincus qui tomberont entre mes mains. Et comme si une immense fatigue réprimait ma récente exaltation, je me vois tomber, immolé à l'authentique révolution qui standardise les volontés, en prononçant le mea culpa édifiant. Je sens déjà mes narines dilatées, savourant l'âcre odeur de la poudre et du sang, de la mort ennemie. Je raidis déjà mon corps, prêt à la bataille et je prépare mon corps comme une enceinte sacrée pour qu'y résonne, avec de nouvelles vibrations et de nouveaux espoirs, le hurlement bestial du prolétariat triomphant ».

Che Guevara commença à tuer de ses propres mains dès les années 1956-1958, lorsqu'il effectua des exécutions dans la Sierra Maestra, lors de la lutte contre la dictature de Batista. Par la suite, en 1959, après la prise du pouvoir avec les frères Castro, le Che supervisa et commit lui-même des assassinats dans la forteresse de la Cabana.

La première exécution qu'il effectua donc lui-même, dans la Sierra Maestra, fut celle d'Eutimio Guerrra. Ce dernier était missionné par les militaires de Batista pour assassiner Fidel Castro dans son sommeil.
Suite à une parodie de procès, Castro intima l'ordre au Che, d'exécuter Eutimio Guerra.
Le Che décrit lui-même cette scène horrible (pages 47 et 48) :

« A cet instant, un violent orage se déchaîna et nous fûmes plongés dans le noir. Au milieu de formidables trombes d'eau, sous un ciel criblé d'éclairs, dans le vacarme du tonnerre, tandis qu'un trait de foudre, accompagné de son tonnerre, zébrait les alentours, finit la vie d'Eutimio Guerra, sans que même les compagnons les plus proches de lui aient pu entendre le bruit du coup de feu ».

« (…) La situation était désagréable pour tout le monde et pour Eutimio lui-même. J'ai résolu le problème en lui tirant sur le côté droit du cerveau une balle de pistolet calibre 32, qui est ressortie du même côté, par la tempe droite. Il gémit quelques instants, puis mourut. Auparavant, alors que je faisais l'inventaire de ce qui lui appartenait, je ne quittais pas des yeux sa montre attachée par une chaîne à sa poitrine. Il m'a dit, avec une voix très calme, qui allait au-delà de la peur : « Prends-la, mon gars, qu'est-ce que ça peut bien me faire, maintenant… » Ce que je fis. Ce qui lui appartenait était à moi à présent. Nous avons mal dormi, nous étions mouillés et j'ai eu un peu d'asthme ».

Puis, pour le Che, les exécutions expéditives devinrent rapidement une routine (page 49) :

« La révolution traversait des heures difficiles : en vertu des droits que me conférait ma position de chef de secteur, je fis procéder à une enquête, très sommaire, et le paysan Aristidio fut exécuté ».

Che Guevara reconnaissait lui-même que ces victimes assassinées ne méritaient pas « forcément » la mort, mais que dans le contexte de la guérilla dans la Sierra Maestra, les alternatives étaient restreintes. Donc, par « facilité », il optait régulièrement pour l'option de la mort, sans état d'âme et sans autre forme de procès ! (page 50) :

« Avec le recul, ce système, inauguré dans la Sierra, pourra sembler barbare. C'est qu'il n'existait à l'époque aucune sanction possible pour ces hommes, qui ne méritaient certes pas tout à fait la mort, mais qui avaient à leur actif une série de délits assez graves ».

Un fidèle compagnon d'arme du Che, Dariel Alarcon Ramirez (surnommé « Benigno ») qui est resté très longtemps un grand admirateur du Che, avant de comprendre bien des années plus tard qui il était vraiment, déclarait ceci, après la prise du pouvoir par le régime Castriste (page 56) :

« En différentes occasions, le Che venait voir, à l'improviste. Il montait sur le mur. Ce n'était pas difficile d'y monter car il y avait un escalier. Il se couchait sur le dos en fumant un havane et en regardant les exécutions. Toute la soldatesque de la Cabana commentait cela. Mes soldats me disaient : « Quand nous étions envoyés pour faire partie du peloton d'exécution, nous voyions le Che en train de fumer un cigare là-haut sur le mur ». C'était un soutien pour ceux qui allaient tirer. Pour ces hommes qui, jamais auparavant, n'avaient vu le Che, c'était quelque chose d'important. Cela donnait du courage ».

Mais après de nombreuses années de réflexion donc, cet ex-admirateur du Che, confia à Jacobo Machover que (page 57, note n°1) :

« Je me suis rendu compte, dit-il, que je n'avais pour le Che ni du respect ni de l'admiration. J'avais en fait peur de lui si je n'appliquais pas intégralement ses ordres ».

Comme Commandant en chef de la prison de la Cabana et responsable de la Commission d'Épuration (Comision Depuradora), entre le 3 janvier et le mois de juillet 1959, le Che fit exécuter près de 180 sentences de mort, suite aux condamnations prononcées par les Tribunaux Révolutionnaires, sous les ordres de Fidel Castro lui-même.
Alors, comment ne pas rapporter encore ce terrible témoignage de Dariel Alarcon Ramirez (« Benigno ») concernant l'effroyable processus des exécutions sommaires (pages 58 et 59) :

« La Cabana était une place forte qui comptait plus de mille soldats, témoigne « Benigno ». le Che et Jorge (dit « Papito ») Serguera présidaient les tribunaux à tour de rôle.
(…) L'enveloppe contenait la liste des gens qui allaient être jugés ce soir-là, ainsi que la sentence infligée à chacun d'entre eux. C'était en fait Fidel qui décidait, sans aucun doute.
Je devais me rendre souvent à La Cabana. J'étais alors capitaine de la Police militaire et je commandais la caserne de San Ambrosio, d'où partait, tous les jours, un escadron de mes soldats pour pratiquer les exécutions. C'étaient tous des volontaires.
J'ai vu un homme qu'on allait fusiller. Il y avait trois poteaux cloués là, derrière les galeries des prisonniers. On l'a attaché a l'un deux et on lui a mis un bandeau sur les yeux. L'homme a commencé à implorer sa mère, à invoquer ses enfants, à se pisser dessus et à se chier dessus. Un curé est alors arrivé. Je me suis demandé ce qu'il venait faire là, à côté de l'homme qui allait être fusillé. Je n'ai pas pu continuer à regarder. Je me suis retourné et je suis parti. Je n'ai pas vu le reste, j'ai juste entendu la décharge des fusils. J'en ai encore le corps qui tremble. Je ne sais pas si c'est la peur. J'ai pourtant été un guerrier toute ma vie, mais je suis incapable de tuer un homme de sang-froid ».

Puis, après le mois de juillet 1959 d'autres chefs bourreaux prirent la place du Che pour continuer cette ignoble besogne des exécutions.

De même, comment ne pas rapporter le témoignage du père Javier Arzuaga, curé de la paroisse de Casablanca, démontrant l'extrême cruauté du Che (pages 60 et 61) :

« Ariel Lima fut condamné à mort.
Il fut maintenu pendant près d'une semaine dans « le couloir de la mort ». Il parlait à peine. Il était comme aliéné, vidé de lui-même, le regard perdu, sans avoir réellement conscience de ce qu'il lui arrivait. (…) Je lui promis que j'irais voir « Che » Guevara et que j'interviendrais en sa faveur auprès de lui.
Je lui en parlai dès que l'occasion s'en présenta. (…) Ce fut inutile.
Je pense que le « Che » avait cautérisé son âme par le feu, en y brûlant tout espace pour les sentiments. Plus on lui demandait de compassion, plus il réagissait cruellement. La décision serait prise au cours du procès en révision.

Lorsque le commandant me vit à l'intérieur de la salle, il comprit sans doute ce qui m'avait amené là. La séance ne dura qu'une demi-heure. La sentence fut ratifiée. L'exécution aurait lieu cette nuit même. Il m'aperçut à nouveau devant la porte, alors que, avec son escorte, il sortait dans la rue. Il leva la main comme pour me saluer. Il marchait à grandes enjambées vers son poste de commandement. Une femme courut vers eux et se jeta par terre aux pieds du « Che ». Tout le monde la vit. Tous les soldats s'arrêtèrent pour observer ce qu'allait faire le commandant. « C'est la maman d'Ariel », dit l'un d'eux. Alors je m'approchai. le « Che » l'évita et, dès qu'il se fut éloigné un peu, se retourna et lui dit : « Madame, je vous recommande de parler avec le père Javier, dont on dit qu'il est un maître en consolation. « Elle est à vous ». J'ai aidé la femme à se relever et je lui ai donné ce conseil : « Rentrez chez vous, Madame, essayez de surmonter votre tragédie et de continuer à vivre sans votre fils, remettez-vous-en à Dieu. »
Je ne l'ai plus jamais revue. Cette nuit-là, j'ai haï le Che.
Ariel Lima fut fusillé. »

Il n'y avait pas qu'à la forteresse de la Cabana qu'il existait des pelotons d'exécution. Il y en avait partout sur l'île de Cuba.
Que ce soit sous la Révolution Française ou sous les régimes Totalitaires Communistes, à chaque fois, les Tribunaux Révolutionnaires se veulent particulièrement arbitraires (pages 64 et 65) :

« L'avocat José Vilasuso, aujourd'hui en exil, fit partie de ceux qui avaient à traiter les dossiers des condamnés par la Commission D Épuration. Il rapporte ainsi les instructions données par Che Guevara :

« Ne faites pas traîner les procès. Ceci est une révolution. N'utilisez pas les méthodes légales bourgeoises, les preuves sont secondaires. Il faut agir par conviction. Il s'agit d'une bande de criminels et d'assassins. En plus, souvenez-vous qu'il y a une possibilité d'appel ».

José Vilasuso précise, pour ce qui est du Tribunal révolutionnaire de la Cabana :

« Aucun recours en appel ne fut jamais pris en compte ».

Alors comment comprendre que durant toutes ces décennies et encore aujourd'hui, il existe toujours autant d'aficionados du Che ? D'autant plus que le Che avait déclaré, dès le 11 décembre 1964, on ne peut plus publiquement, puisqu'à la tribune de l'Assemblée générale des Nations Unies (l'O.N.U.) à New York, ceci (page 68) :

« Nous avons fusillé ; nous fusillons et nous continuerons à fusiller tant qu'il le faudra. Notre lutte est une lutte à mort. Nous savons quel serait le résultat d'une bataille perdue et les contre-révolutionnaires doivent savoir aussi quel est le résultat de la bataille perdue à Cuba aujourd'hui ».

Il n'existe donc pas de réponse rationnelle à cette interrogation… La seule explication extrêmement pauvre et fausse (comme nous l'avons vu depuis le début de ce commentaire), pour ne pas dire affligeante d'un point de vue humain, moral et intellectuel, résiderait dans le mythe du jeune homme idéaliste et révolutionnaire. Reste également, l'autre explication tout aussi désespérante, celle de l'ignorance.
Et pourtant…, lorsque l'on sait, en plus, que Ernesto Guevara était un grand admirateur de Staline, on ne peut que rester sidéré que tant d' « intellectuels » Européens, hier et aujourd'hui encore, s'aveuglent volontairement face à ce criminel !
Le Che signait même parfois ses lettres sous le pseudonyme de « Staline II » !
Il a prouvé son admiration envers « le petit père des Peuples » par ses écrits suivants (pages 71 et 72) :

« J'ai juré, devant un portrait de notre vieux et regretté camarade Staline, que je n'aurais pas de repos avant d'avoir vu ces pieuvres capitalistes exterminées ».

« Celui qui n'a pas lu les quatorze tomes de Staline ne peut pas se considérer comme tout à fait communiste ».

Après l'exécution de Che Guevara en Bolivie, en 1967, le mythe en devenir, devint alors total et absolument « pur » ! Ces mêmes « intellectuels » Français et Européens qui désormais lui vouaient un culte sans limite étaient les mêmes qui avaient déjà admiré, auparavant : Lénine, Trotski, Staline ; mais aussi à la même époque que le Che : Mao, Hô Chi Minh et qui allaient bientôt prendre la défense de Pol Pot au Cambodge, en 1975.
Le plus célèbre de ces admirateurs est bien évidemment Jean-Paul Sartre, celui-là même qui avait déclaré, entre autres absurdités, que : « Tout anti-communiste est un chien ! ». C'est donc en toute « logique », qu'après avoir loué les vertus « humanitaires » de Staline, il allait encore une fois idolâtrer le criminel communiste que fût le Che (page 81) :

« Je pense que, en effet, cet homme n'a pas été seulement un intellectuel mais l'homme le plus complet de son époque. Il a été le combattant, le théoricien qui a su extraire de son combat, de la lutte elle-même, de sa propre expérience, la théorie pour mettre en application cette lutte ».

Contrairement à ce que peut penser le commun des mortels, comme tout dirigeant communiste, Che Guevara se servit des travailleurs, comme de la main-d'oeuvre corvéable à merci, s'inspirant du stakhanovisme sous la dictature Stalinienne. En effet, comme l'ont fait tous les régimes Totalitaires communistes de la planète, il instaura lui aussi les classiques « dimanches rouges ». En clair, le travail même le dimanche.

Dans l'univers Communiste, pour faire appliquer l'Idéologie obligatoire, on crée des camps de rééducation par le travail forcé. Cuba ne fait évidemment pas exception à la règle, puisque le Che a décidé d'ouvrir ce type de camp dans la péninsule de Guanahacabibes, dans la province de Pinar del Rio. L'objectif étant de forger un « homme nouveau » idéologiquement « pur » car totalement endoctriné, afin d'être soumis au dogme Marxiste-Léniniste du Communisme (page 101) :

« Nous envoyons seulement à Guanahacabibes des cas douteux, des gens dont nous ne sommes pas certains qu'ils doivent aller en prison. Je crois que les gens qui doivent aller en prison iront en prison de toute façon. Nous envoyons à Guanahacabibes des gens qui ne doivent pas aller en prison, des gens qui ont commis des crimes envers la morale révolutionnaire, à des degrés plus ou moins importants. Parallèlement, d'autres sanctions seront prises contre eux : les renvoyer de leur travail, par exemple. Dans d'autres cas, d'autres sanctions seront appliquées, comme la rééducation par le travail. C'est du travail dur, pas du travail forcé. Les conditions de travail sont dures mais elles ne sont pas brutales ».

P.S. : Vous pouvez consulter ce commentaire, dans son intégralité, sur mon blog :
Lien : https://communismetotalitari..
Commenter  J’apprécie          21







{* *}