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Critique de plume_et_vanille
Résumé : Juliette est enfermé depuis maintenant si longtemps qu'elle ne se souvient plus de ce que c'est d'être libre. Elle a un don, une malédiction plutôt, quiconque la touche se trouve foudroyé par une douleur immense, douleur qui tue la victime dans la majorité des cas. Mais un jour le monde de Juliette est bouleversée par l'arrivée d'Adam dans sa cellule, garçon de son passé dont les yeux bleu sont encore gravé dans sa mémoire. Garçon qui travaille pour le nouveau gouvernement oppressif, mais aussi garçon qui est amoureux d'elle depuis des années...
Que dire de ce premier tome ? Fan de dystopie, je commencerai par dire que l'univers n'a rien d'original... La fin du monde, la perte des ressources, les catastrophes climatiques, un gouvernement qui vole tout à son peuple, et une jeune femme hors du commun, d'une beauté ravageuse (on ne s'y attendais pas à celle là) rejetée de tous, même de sa propre famille. Rien de nouveau, rien d'excitant, exceptée cette étrange pouvoir, celui de Juliette, qui amène une reflexion très interessante tout le long de ce premier tome : A quels point l'humain a-t-il besoin de contact et d'attention ? Juliette n'a jamais expérimenté la moindre forme d'affection physique, et c'est très interessant d'être dans la tête d'un personnage dans sa situation. Malgré cela, au début, je n'étais pas emballée. Et au final, le livre m'a eu. Il ce lit très vite, l'écriture est fluide, très jolie. J'ai aussi aimé que tout ne soit pas noir ou blanc. En effet contrairement à d'autre dystopie, il n'y a pas réellement de méchant ou de gentil dans ce premier tome. le personnage de Juliette est tiraillé entre deux aspects : sa culpabilité et son envie de ne blesser personne, elle se trouve monstrueuse et ce déteste, mais aussi d'abord son envie de contact et d'être touché qui la rend presque égoïste par moment, et cette étrange sentiment de pouvoir enivrant qui la saisit quand elle fait souffrir quelqu'un. Quand au "méchant", Aaron Warner, fils de l'homme à la tête du gouvernement, c'est un homme cruel, assoiffée de pouvoir, mais il est aussi parfois attentionnée, et presque doux. Cela rend les profils psychologique des personnages plus réalistes et intéressants. C'était une belle lecture, qui ne m'a pas non plus complètement bouleversée, mais agréable en tout point, et je compte bien lire la suite.
Que dire de ce premier tome ? Fan de dystopie, je commencerai par dire que l'univers n'a rien d'original... La fin du monde, la perte des ressources, les catastrophes climatiques, un gouvernement qui vole tout à son peuple, et une jeune femme hors du commun, d'une beauté ravageuse (on ne s'y attendais pas à celle là) rejetée de tous, même de sa propre famille. Rien de nouveau, rien d'excitant, exceptée cette étrange pouvoir, celui de Juliette, qui amène une reflexion très interessante tout le long de ce premier tome : A quels point l'humain a-t-il besoin de contact et d'attention ? Juliette n'a jamais expérimenté la moindre forme d'affection physique, et c'est très interessant d'être dans la tête d'un personnage dans sa situation. Malgré cela, au début, je n'étais pas emballée. Et au final, le livre m'a eu. Il ce lit très vite, l'écriture est fluide, très jolie. J'ai aussi aimé que tout ne soit pas noir ou blanc. En effet contrairement à d'autre dystopie, il n'y a pas réellement de méchant ou de gentil dans ce premier tome. le personnage de Juliette est tiraillé entre deux aspects : sa culpabilité et son envie de ne blesser personne, elle se trouve monstrueuse et ce déteste, mais aussi d'abord son envie de contact et d'être touché qui la rend presque égoïste par moment, et cette étrange sentiment de pouvoir enivrant qui la saisit quand elle fait souffrir quelqu'un. Quand au "méchant", Aaron Warner, fils de l'homme à la tête du gouvernement, c'est un homme cruel, assoiffée de pouvoir, mais il est aussi parfois attentionnée, et presque doux. Cela rend les profils psychologique des personnages plus réalistes et intéressants. C'était une belle lecture, qui ne m'a pas non plus complètement bouleversée, mais agréable en tout point, et je compte bien lire la suite.
