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Critique de brigittelascombe


"Patriarche des Lettres Arabes", l'auteur Naguib Mahzouf, Cairote (à présent décédé) a reçu en 1988 le prix Nobel. Ce recueil de huit nouvelles (déjà publiées par ailleurs) est précédé du discours de réception de littérature écrit lors de la remise du prix Nobel, faisant état d'un désir de paix et de sagesse.
Ces nouvelles très éclectiques, mettent en scène une mort symbolique (vieillard accompagné sur un quai de gare par ses proches), parlent de l'acceptation des changements politiques, du renversement de situation sociale lors de la révolution, de désir de survie malgré tout, de souvenirs d'enfance, des abus du système politique (spoliation..), d'invasion de scarabées, de recyclage...Bref..."le temps avance toujours, rien ne peut l'arrêter". Outre plusieurs réflexions philosophiques sur la vie,la mort, Naguib Mahfouz dénonce les abus.
Une belle écriture, des sujets variés (de l'émotionnel au politique en passant par le fantastique) mais un ton monocorde qui lasse parfois.
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