P-S : les souvenirs de mon cœur battant, à Sauzon, me semblent déjà loin.
Je ne veux pas que tu m'oublies. Parce que tu fais partie de ma vie. Parce que tu es mon locataire intérieur aussi... Malgré moi. Je ne t'y ai pas invité. C'est un peu comme si tu avais forcé la porte et que tu t'étais installé là. Squatteur, va...
Disons que j'avais envie de savoir où tu en étais dans l'existence, ce que tu étais devenue, à quoi ressemblait ta vie... Si tu étais heureuse...
T’imaginer un jour mienne me remplit de joie pour un temps infini.
Je ne veux pas que tu m'oublies. Parce que tu fais partie de ma vie. parce que tu es mon locataire intérieur, aussi...malgré moi. Je ne t'y ai pas invité. C'est un peu comme si tu avais forcé la porte et que tu tétais installé là. Squatteur, va…
j'ai bien conscience du vide de mes messages, mais c'est en rapport avec le vide laissé par ton absence
Je voudrais que tu aies tort. Pour ne pas avoir à remettre en question mes choix. En même temps,je ne peux pas regretter que tu sois revenu dans ma vie, que tu sois venu samedi... que tu sois Toi. Que tu sois là. Que tu existes.
Tu me hantes,toi, et nos souvenirs. Le jour,la nuit. Les anciens,les récents. Je ne pensais ressentir ça un jour. C'est assez nouveau pour moi et j'en suis déstabilisé. Tu me manques... comme jamais. Je suis d'accord avec toi: c'est douloureux et bon à la fois. J'aimerais que cette torture délicieuse cesse et ne cesse jamais.
Mais tu n' en as rien fait...tu as préféré te leurrer, ne pas voir les choses, fuir...loin de moi!...et nous priver d'un nous.
Et j'ai savouré ce moment. Je crois que je savais qu'il serait unique dans les deux sens du terme (ça ne se produirait qu'une fois, ça aurait le goût de la rareté). C'était divin, au dessus de tout ce que j' avais connu...
Et donc...cela a alimenté longtemps et souvent mes souvenirs, mes rêveries érotiques... pour ne rien te cacher.