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Critique de Alfaric


Dans ce tome 8 Alix et Enak toujours en deuil de leur fils (oui je sais, ça sonne très gay friendly mais c'est la série qui veut cela ^^) vont route vers le royaume des Nabatéens envoyés par Auguste remplir une mission diplomatique. C'est la guerre larvée entre le roi Obodas et le ministre Syllaios, arbitré par la reine Hagirû et son amant Rabbel chef de la garde royale, et Auguste offre son soutien donc le trône à celui des deux qui livrera le secret des routes vers l'Arabie Heureuse, l'Océan Indien et les Indes… Une contre-offre est offerte à Auguste : l'aide des Nabatéens pour annexer la Judée qui sous la direction d'Hérode est au bord de l'insurrection contre les Romains. Sauf que nous sommes dans les cités des poisons où se marchandent les produits de trois continents, et qu'un mystérieux espion observe les uns et les autres !
C'est un tome graphiquement très beau centré sur Pétra et le Wadi Rum ici réalisé par Thierry Démarez aux dessins et Jean-Jacques Chagnaud aux couleurs. Scénaristiquement c'est classique mais efficace dans la lignée de la période tragique de la série mère ("L'Enfant grec", "La Tour de Babel", "L'Empereur de Chine"…), du coup c'est très dommage qu'après les délires adolescents du fils d'Enak les principaux rebondissements reposent sur les délires adolescents du fils d'Alix : le romain Titus s'est entichée de la galate Camma et l'emmène en voyage avec lui à Pétra, mais elle flash sur le beau-gosse Alexandre fils du ministre Syllaios donc il boude et il psychote au point d'omettre de parler à Alix de tous les complots qui se trament dans l'espoir que la résolutions de ses derniers le débarrassent de son rival amoureux… Soupirs…
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