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Critique de lechristophe
Encore un album pas très très palpitant ! Après la mort de Khephren lors du tome précédent, la petite troupe se voit confier par Auguste une nouvelle mission : Alix doit rencontrer Obodias, le roi des Nabatéens, pour renforcer l'alliance qui lie ce peuple à l'empire romain.
Le hic est que ce roi inutile dort toute la journée et ne se lève que pour se mettre minable au banquet du soir (et cuver tout le lendemain pour se lever le soir et se remettre minable etc... !). Donc, évidemment, il y a complot (on est dans un album d'Alix !) en coulisses. D'un côté, le parti de la reine Hagirû, de l'autre, celui du ministre Syllaios. Tous les deux veulent attirer Alix, et donc l'empire romain, dans son camp.
A cela s'ajoute un triangle amoureux mêlant Titus, Camma (qui sont pour une fois du voyage) et Alexandre, le fils de Syllaios, avec scènes de jalousie, philtre d'amour et duel.
Et pour être totalement complet, Enak traverse l'album comme une ombre, ne prenant part à aucune action car il est profondément bouleversé par la mort de son fils.
Voilà, bien que le scénario ait l'air touffu, il n'en est rien et nos Romains sont particulièrement passifs. Heureusement, on comprend bien vite que cette lenteur dans l'intrigue débouchera sur une histoire en plusieurs albums dont celui-ci ne sert qu'à présenter les nouveaux personnages. Un tome de transition en quelque sorte.
Sinon, bonne nouvelle, en refermant la BD je me suis aperçu que pour une fois je n'avais pas été heurté par les dessins de Thierry Démarez. Il faut souligner qu'il s'est quand même amélioré depuis les premiers tomes et que ses dessins sont embellis par une colorisation enfin dans des tons clairs, plus gais.
Il ne me reste plus qu'à découvrir la suite dans le neuvième tome pour savoir si tout le nouveau cycle sera autant mou du genou...
Le hic est que ce roi inutile dort toute la journée et ne se lève que pour se mettre minable au banquet du soir (et cuver tout le lendemain pour se lever le soir et se remettre minable etc... !). Donc, évidemment, il y a complot (on est dans un album d'Alix !) en coulisses. D'un côté, le parti de la reine Hagirû, de l'autre, celui du ministre Syllaios. Tous les deux veulent attirer Alix, et donc l'empire romain, dans son camp.
A cela s'ajoute un triangle amoureux mêlant Titus, Camma (qui sont pour une fois du voyage) et Alexandre, le fils de Syllaios, avec scènes de jalousie, philtre d'amour et duel.
Et pour être totalement complet, Enak traverse l'album comme une ombre, ne prenant part à aucune action car il est profondément bouleversé par la mort de son fils.
Voilà, bien que le scénario ait l'air touffu, il n'en est rien et nos Romains sont particulièrement passifs. Heureusement, on comprend bien vite que cette lenteur dans l'intrigue débouchera sur une histoire en plusieurs albums dont celui-ci ne sert qu'à présenter les nouveaux personnages. Un tome de transition en quelque sorte.
Sinon, bonne nouvelle, en refermant la BD je me suis aperçu que pour une fois je n'avais pas été heurté par les dessins de Thierry Démarez. Il faut souligner qu'il s'est quand même amélioré depuis les premiers tomes et que ses dessins sont embellis par une colorisation enfin dans des tons clairs, plus gais.
Il ne me reste plus qu'à découvrir la suite dans le neuvième tome pour savoir si tout le nouveau cycle sera autant mou du genou...
