J'ai eu envie de relire cet ouvrage, lu ado sans doute trop vite et en diagonale, et ce fut effectivement une agréable (re)découverte. L'écriture réussit pleinement à retranscrire l'obsession du narrateur, qu'accompagne le cadre oppressant d'une Venise mortifère. Cela m'a fait noter que c'était le second livre sur Venise que je lisais ces derniers mois, et le second présentant une image de la cité des Doges pesante et hostile - le premier étant "
Dans la ville provisoire" de
Bruno Pellegrino. Mais curieusement, ces deux livres m'ont plutôt donné envie de retourner à Venise, comme quoi il faut croire que cette cité a décidément un pouvoir d'attraction bien particulier...
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